WEB

Je me disais en allant de ci de là sur le net qu’il y avait des blogs-sites absolument formidables. Des mines d’images ( j’ai ajouté plusieurs liens aujourd’hui): La folie, qui d’ailleurs m’a fait fuir d’ici, prendre le vélo pour aller nulle part, c’est à dire “circumvaguer “, et me retrouver chez Corti, acheter Evelina, parler avec la fille qui me fait 4 euros, vu que j’arrive de Pigalle à vélo.

—Deux euros le mollet dites-vous?

—Oui. Papotons agréablement ( Emily Dickinson puis Nijinsky, puis une mandarine oubliée au coin du bureau, puis deux personnes entrent…)

et retour par les Tuileries, le jour qui devient nuit, la Madeleine et j’en passe. Tel à T. qui n’est pas là. pas grave je poursuis ma route, moulin Rouge, etc…

Départ pour Lille différé au dernier moment.

Reporté à demain.

Mail de C. mignon comme tout.

Deux filets de pintade et des photos spirites.

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BRITISH

Edward John Trelawny, Les derniers jours de Shelley et Byron

Collection Romantique, éditions Corti-le premier roman de Fanny Burney Evelina

L’Endeuillée (1830), Transformation (1831), Le Rêve (1832) et L’Immortel mortel(1834), parcourus par les thèmes obsédants de la mort et du deuil impossible, évoquent, chacun sous une forme différente, à l’opposé de Frankenstein et pourtant dans la même veine, un Prométhée humain, peut-être trop tristement humain.

Mes écrits de ce matins envolés. pas grave.

On s’en fiche.

Puis Marché Bio des Batignolles. L’angoisse de la clientèle je dois dire. La dame au béret rouge genre mon colonel sait acheter, parents trentenaires qui montrent à leur descendance le vert, les poulets , les plantes… C’est beau un enfant… (la nuit….). C’est beau de transmettre. Bon , on achète ce qu’il faut pour être beau et en bonne santé et j’accompagne R. avec les sacs rue Là-bas pour un essayage de favoris. Je n’y vais pas totalement désintéressée, vu qu’il va me falloir pour mes âneries une perruque de marquis blanche. Toc, c’est fait. j’appellerai et je passerai la prendre. Il n’y a plus qu’à trouver ce que je veux faire.

J’oscille entre une certaine satisfaction de ce que je suis en train de faire, et un soudain déplaisir.

Aperçu hier à la tV, Raison et sentiments, mais il n’est pas donné à tout le monde de traduire Jane Austen.

Je vais aller acheter les Edward John Trelawny, Les derniers jours de Shelley et Byron Collection Romantique, éditions Corti

Mémoires d’un gentilhomme corsaire

« L’authenticité des Mémoires d’un gentilhomme corsaire d’Edward John Trelawney a été mise en cause et demeure sans doute sujette à caution. (…) On préférera voir en quoi cet écrit, riche de réminiscences livresques, reprend une forme et des topoï éprouvés, ceux des récits rétrospectifs menés à la première personne du dix-huitième siècle, centrés sur des personnages d’aventuriers et de pirates, et leur donne des couleurs plus précisément romantiques.

Dans un texte autobiographique, les épisodes, souvent répétitifs, pillages, abordages et poursuites, s’organisent en fonction d’un itinéraire personnel dont le maître mot est celui de liberté, placé à l’orée comme au terme du parcours auquel il confère une rectitude. Contextes familial et politique dans une Europe qui voit la faillite des idéaux de la Révolution française sont présentés de manière à conférer un caractère logique à l’engagement dans la course. »

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