J'y repense

Oui, je leur racontais avoir entendu sur le quai d’A un jeune Pierre-Raphaël ou autre prénom pas du tout marqué, et qui disait au téléphone à l’arrivée du train.

— “Attends, j’regarde, non, non… Non, jcrois pas qu’il y ait de premières”.

Trop beau.

Je vois mal les mec à Survet prendre une première pour Mantes la Jolie

COPLEY

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Voilà ce que je cherchais.

Ce portrait me fait un drôle d’effet. Il est très inquiétant et le jeune garçon a un regard assez insolent. En fait on sent une sorte de mépris pour celui qui est là, comme moi, à se dire ça.. Hum,hum. Intéressant.

Et je me souviens d’un truc qui faisait comme ça:

Je connais un peintre ayant nom Copley, qui toujours disait que baiser me plait et pour rendre ses toiles érotiques au lieu de pinceau employait sa trique.

Mais qui a écrit ce truc? Je me demande si Dali n’avait pas commis ce chef d’oeuvre. Je sais que c’est un artiste qui a écrit ça

PAULINETTE

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Pauline a fait une entrée vraiment lumineuse avec son petit manteau rouge. Pour cette photo elle a posé sur la table de R., le petit paquet contenant deux religieuses au chocolat.

C. arrive plus tard, puis R. à son tour.

Papotages. Puis nous cherchons sur You Tube des images de “Rallye”, de bal des débutantes; Nous cherchons des adresses de boites où se rend la jeunesse dorée et ses chaussures bateau, mocassins à pompons, col blanc sur chemise rayée, perles à l’oreille et j’en passe…. Mais où danse Assas?

Ah oui, l’après-midi , j’étais allée conduire R. à la gare ( décidant finalement de ne pas l’accompagner à Lille). Pluie battante et alors j’ai décidé d’aller au Louvre, le nom de “L’Arioste ” me taquinant soudain l’oreille. Il me semblait bien qu’il y avait quelque chose à son sujet…. J’ai crapahuté dans les salles de sculptures où il est vrai je ne vais jamais, et vu cette belle petite exposition. Gustave Moreau, Ingres, Barrye, des dessins sublimes. Tout cela en attendant le reprise des lectures du texte à 14h.

Une dizaine de jeunes mecs, qui racontaient l’histoire. Formidable et drôle, même si j’avais failli me tirer dès les premières minutes. Quand sont apparues sur l’écran et dans le dos du récitant, des images filmées du hall du Louvre en live. Ca faisait, genre et voici Bradamante , et la caméra pointait une touriste japonaise le nez en l’air. Idem pour la suite. L’horreur. Video gag. Une dame studieuse, à côté de moi suivait dans le noir et dans son livre, les exploits de Charlemagne; d’Astolphe des Maures et d’Angélique…

Quand même visuellement il t avait plus marrant à trouver que des tableaux du Louvre genre diapo.

Mais c’était drôle et tous les types vraiment bien.

Je vais envoyer un mot à JMT, qui m’avais invitée à Innsbruck, pour lui proposer mes services si ça se présente. Oui je vais faire ça.

Je suis partie à la coupure de 16 ou 17h. Ca reprenait après.

WEB

Je me disais en allant de ci de là sur le net qu’il y avait des blogs-sites absolument formidables. Des mines d’images ( j’ai ajouté plusieurs liens aujourd’hui): La folie, qui d’ailleurs m’a fait fuir d’ici, prendre le vélo pour aller nulle part, c’est à dire “circumvaguer “, et me retrouver chez Corti, acheter Evelina, parler avec la fille qui me fait 4 euros, vu que j’arrive de Pigalle à vélo.

—Deux euros le mollet dites-vous?

—Oui. Papotons agréablement ( Emily Dickinson puis Nijinsky, puis une mandarine oubliée au coin du bureau, puis deux personnes entrent…)

et retour par les Tuileries, le jour qui devient nuit, la Madeleine et j’en passe. Tel à T. qui n’est pas là. pas grave je poursuis ma route, moulin Rouge, etc…

Départ pour Lille différé au dernier moment.

Reporté à demain.

Mail de C. mignon comme tout.

Deux filets de pintade et des photos spirites.

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BRITISH

Edward John Trelawny, Les derniers jours de Shelley et Byron

Collection Romantique, éditions Corti-le premier roman de Fanny Burney Evelina

L’Endeuillée (1830), Transformation (1831), Le Rêve (1832) et L’Immortel mortel(1834), parcourus par les thèmes obsédants de la mort et du deuil impossible, évoquent, chacun sous une forme différente, à l’opposé de Frankenstein et pourtant dans la même veine, un Prométhée humain, peut-être trop tristement humain.

Mes écrits de ce matins envolés. pas grave.

On s’en fiche.

Puis Marché Bio des Batignolles. L’angoisse de la clientèle je dois dire. La dame au béret rouge genre mon colonel sait acheter, parents trentenaires qui montrent à leur descendance le vert, les poulets , les plantes… C’est beau un enfant… (la nuit….). C’est beau de transmettre. Bon , on achète ce qu’il faut pour être beau et en bonne santé et j’accompagne R. avec les sacs rue Là-bas pour un essayage de favoris. Je n’y vais pas totalement désintéressée, vu qu’il va me falloir pour mes âneries une perruque de marquis blanche. Toc, c’est fait. j’appellerai et je passerai la prendre. Il n’y a plus qu’à trouver ce que je veux faire.

J’oscille entre une certaine satisfaction de ce que je suis en train de faire, et un soudain déplaisir.

Aperçu hier à la tV, Raison et sentiments, mais il n’est pas donné à tout le monde de traduire Jane Austen.

Je vais aller acheter les Edward John Trelawny, Les derniers jours de Shelley et Byron Collection Romantique, éditions Corti

Mémoires d’un gentilhomme corsaire

« L’authenticité des Mémoires d’un gentilhomme corsaire d’Edward John Trelawney a été mise en cause et demeure sans doute sujette à caution. (…) On préférera voir en quoi cet écrit, riche de réminiscences livresques, reprend une forme et des topoï éprouvés, ceux des récits rétrospectifs menés à la première personne du dix-huitième siècle, centrés sur des personnages d’aventuriers et de pirates, et leur donne des couleurs plus précisément romantiques.

Dans un texte autobiographique, les épisodes, souvent répétitifs, pillages, abordages et poursuites, s’organisent en fonction d’un itinéraire personnel dont le maître mot est celui de liberté, placé à l’orée comme au terme du parcours auquel il confère une rectitude. Contextes familial et politique dans une Europe qui voit la faillite des idéaux de la Révolution française sont présentés de manière à conférer un caractère logique à l’engagement dans la course. »

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A FAIRE

A Complete List of Performers at Odditoriums:

-Bard, Roy "Ossified Man" -Battley, Irene "Voltess" -Blackburn, John Esau "Hairy-Man" -Blystone, E.L. "Microscopic Writer" -Broadbent, Betty "Tattooed Lady"  -Bryant, B.A. "Human Pincushion"  -Burke, Henry Paul "Ambidextrous Cartoonist" -Captain Ringman Mack  -Coleman, Frank "Man With Steel Hands" -Coogan, Val "Prince Hagur, White Fakir" -Desmuke, Paul "The Armless Wonder"  -Edema, Edward "Human Automobile Tire"  -Eck, Johnny "Half-Boy" -Ensign, Orpha "Ossified Woman" -Everhart, Robert "Gurning & Grimacing"  -Gardner, Roy "One Man Band"  -Garneau, Mimi "Swordswallower" -Gawley, Andrew A. "The Steel-Fingered Wonder" -Grendol, Joseph "Swallows All"  -Gravityo, The Great "Man of 1000 Thrills"  -Hadji Ali "The Human Fountain" -Hall, Earl "Smoky"  -Homma "The Rice Writer"  -Hayes, Anato "The Anatomical Wonder" -Hubbard, Skeets "Blockhead & Pulls Wagons By Eyelids" -Johnson, W.H. "Leopard Skin Man" -Jone, Harry "Contortionist" -Lambert, Zora "Razor Blades & Glass Eater" -Langevin, Alfred "Eye-Smoker" -Kanichka "Man With Ostrich Stomach" -Kehr, Clarence "Strong Boy"  -King, Tommy "Tire-Pump Player"  -Knox, Pierce "Blind Xylophonist"  -Lake, Etta  -Langevin, Alfred -Laurello, Martin "Revolving Head" -Lavardo "Voodoo Torturer Sword-Ladder" -Lewis, Forest "Man of Many Faces"  -Loos, Arthur "Rubber-Necked"  -McDaniel, Grace "Mule-Faced Woman"  -McGregory, Harry & Evelyn "Lifts Weights With Eyelids"  -McPherson, Lydia "Longest Red Hair In The World" -McWilliams, Paul "Big Mouth" -Marvello "Fingerless Pianist"  -Mayfield, William "Doc" "Lifting Weights With Tongue & Eyelids"  -Miller, James Marion A. "Calico Jim"  -Morrell, Prof. & Mrs."Jack-Knife King & Queen" -Mortensen, Mort "Piano Wonder" -Nielsen, Rasmus "Lifts Anvil With Pierced Chest" -O'Dell, Larry "Count Fro-Zo Growing Man" -Omi, The Great "Tattooed" -Ortiz, Demetrio "Backwards Feet" -Ossified Harry  -Plumhoff, Arthur "Human Pincushion"  -Price, Edna "Sword and Neon Swallower" -Pushnik, Freda "Half-Girl" -Rankin, D.D. "Champion Whittler" -Rivers, C.L. & Blanche "Liquid Air" -Romano, Charles "Contortionist" -Russell, Francois "Strong Man" -Saylor, John "Gurner"  -Seyah, Albert "Contortionist" -Schmidt, Agnes "Rubber-Skinned"  -Siciliano, Michael "Chain-Swallower" -Singlee "Fireproof Fakir" -Smith, Melvin "Twisto"  -Stone, John R. "The Miracle man-Human or Robot?"  -Swami See Ram Li  "Fireproof" -Thorpe, Clarence "Blindfolded Cartoonist" -Tritchler, Walter "Bottle-Player" -Tryarto "Ambidextrous Artist" -Von Lynd, Elma "Born With 3 Legs"  -Whisant, Joan "Armless Guitarist"  -Williams, Betty Lou "4 Legs, 3 Arms" -Williams, John "Alligator-Skinned"  -Williams, Leopold "Leopard-Skinned Man"  -Willard, Clarence  -Whittaker, Paul "The Eye-Popper"  -Zaharee, James W. "Microscopic Writer"

 
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Ce soir

Creuvée.

J’ai travaillé. Je laise aller… Découpe, pique avec des punaises, écoute la radio, fais du thé fumé.

Je passe à la FNAC , comme ça pour rien, pour prendre l’air et feuillète des portraits écrits par Truman Capote et Avedon. Coco Chanel:

” Si vous enlevez la tête , j’a quinze ans….”

R. rentre tard du tournage et C. monte avec G.

Prépare du poisson et de la soupe à la tomate. Avais invité Y. Mais le désinvite. Trop K.O.

.Tente un skype et papotage rapide avec Anamaria qui se prépare à donner ses cours.

Note /Hubert's freaks

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I just received a great report from Gregory Henryabout last night’s event at The Strand.

“It was at a standing room-only book reading last night at Strand Book Store for HUBERT’S FREAKS: The Rare-Book Dealer, the Times Square Talker, and the Lost Photos of Diane Arbus, a true story about a man named Bob Langmuir who buys the archives of Hubert’s Freak Show (the old Times Square institution) and much to his astonishment, finds previously unknown photos by Diane Arbus inside.

Much like the book, the event was insane. It started nicely enough, with Gibson reading from the book and taking questions. But at one point, he called on a man who began to try to hijack the reading. The man in reality is Bayo Ogunsanya, and he’s suing Bob Langmuir, saying that he sold him some of the Arbus photos without knowing what they were, and now Langmuir will be getting rich off of them (they will be auctioned off today at Phillips de Pury auction house).

Ogunsanya began demanding to be thanked in the book, insisting that he had been lied to, and had to be heckled down by Gibson and booed down by the audience. (Seriously, shouldn’t Ogunsanya’s lawyer have advised him not to attend the reading, since the lawsuit is still ongoing?)

Then, a self-described “magician and escape artist” jumped up and started to harass Gibson and Langmuir, saying that “Presto” the Magician (another Hubert’s freak) was dying in a rest home, and could use some of the money from the auction and the book.

A third character, a Hasidic man, announced to the crowd that he had sold Langmuir the photos. In my humble opinion, it’s insane how this world (of art and book collectors) contains so many characters who all come out of the woodwork when it seems like there’s money to be had.


Jack Dracula, who amazed and entertained tens of thousands at Hubert’s Museum and sideshows around the country, is a now diabetic double-amputee living in a rehab facility in Philadelphia. We know he’d appreciate your cards, letters or gifts, and even more importantly, your monetary support, in whatever amount. His address is:

Jack Baker
4712 Chester Ave.
Philadelphia, PA 19132

Everett Johnson, aka Presto the Magician, another Hubert’s alum, is currently in the hospital in New Jersey.

Un collectionneur abusé / Découverte d’inédits de Diane Arbus /


Collectionneur africano-américain de Brooklyn, Bayo Ogunsanya accuse un autre collectionneur, Robert Langmuir, de l’avoir escroqué. Il reproche à ce dernier de ne pas avoir proposé un prix adéquat pour l’achat d’images inédites de la photographe Diane Arbus.

Bayo Ogunsanya, 50 ans, avait acheté lors d’une vente d’objets non-réclamés une malle de photographies qui aurait appartenu à un homme d’affaires, manager du musée de l’excentrisme à Manhattan (fermé depuis 1965). Ignorant alors qu’il s’agit d’images jusqu’à ce jour inconnues de la célèbre photographe Diane Arbus, ce dernier a vendu une partie des images à Robert Langmuir pour la somme de 1 500 $. Quelques semaines plus tard, Robert Langmuir se serait porté acquéreur du reste des photographies, offrant à Bayo Ogunsanya la somme de 2 000 $. Il lui aurait alors fait la promesse d’une prime s’il s’avérait que les photographies étaient d’une grande valeur. Car en effet, les images représentant des personnages excentriques et insolites du Huberts’Dime Museum et du marché au puces de Times square dans les années 50 pourraient bien rapporter à son propriétaire plusieurs centaines de milliers de dollars. Bayo Ogunsanya se dit trompé par le collectionneur : “il était moralement tenu de m’offrir un prix équitable au moment où il en a su plus que moi sur ces photos”, a-t-il déclaré.
Si la cour fédérale de Brooklyn pourrait convenir de bloquer la vente aux enchères prévue le mois prochain à Manhattan, le porte-parole de Robert Langmuir rejette catégoriquement la plainte. “M. Ogunsanya est un professionnel qui semble avoir des remords et qui essaie d’extorquer quelques dollars à mon client”, a déclaré Maître Peter Maltzer, avocat de Robert Langmuir. Affaire à suivre.

Recherche strip-tease avec menton

strip.tiff

C’est à rajouter à la collection….

Dîner avec C. Drôle et très agréable.

On devrait se voir plus souvent. C. nous rejoint avec sa tête déchiffreuse; Là; E.B, là G.B, là celle d’hier, là JMR,.

Elle serait un bon attaché de presse.

Bon, je ne sais pas quoi faire à part dormir.

Message d’Y. très drôle….

En face


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Je me suis toujours demandée ce qu’il y avait là. Cette petite maison toute seule sur la colline. D. me dit qu’elle aussi la regarde.

Imaginez à Gauche une barre ( la banane d’Argenteuil et à droite je ne sais plus, devant des voies ferrées.)

Et aussi il faut que je descende à Asnières pour retrouver la maison aux deux colonnes et deux faunes.

En fait pour aller à A. le train ne prend jamais la même voie.

Gibert before bed

Cela fait plusieurs jours que j’ai cela sur le coeur: : Tewfik Hakem n’est pas très bon.

Il présente chaque jour des livres sur France Q. Pénible. Pas pénible comme Jean Daive. Pas le même style: Sympathique mais un peu cucu-frais. En plus quand il lit des extraits c’est un massacre.Il faut qu’il cesse de lire. Il ne reconnaît pas un point, une virgule….

Ce soir une dame dînait. La salière était tombée sous son fauteuil.

L’histoire de Camille:

Il nous dit qu’il va chez Gibert tous les samedi matin, et qu’il y a toujours le mêmes, qu’ils se reconnaissent.

Il raconte:

Autrefois, il y avait un café restaurant au dessus du cinema le Racine.

Vers 9h30, le Samedi, la patron mettait en soufflant, en râlant, une chaise sur le trottoir.

Alors vers 9h45 un vieux Monsieur arrivait en taxi devant le Racine.

Il descendait avec diffficulté de la voiture et allait s’assoir sur la chaise.

Le patron sortait; le Monsieur commandait un café ou rien.

Puis ves 9h55 il quittait la chaise péniblement pour entrer chez Gibert et choisir ses livres au rayon des occasions.

Deux heures plus tard, le même taxi apparaissait au bout de la rue et emportait le vieux monsieur.

Bed for me and me for bed….

Merci pour ce dîner. J’étais content de parler avec toi. Tu ne m’as pas parlé de ton travail. C’est signe qu’il qu’il faut remettre cela. Je suis rentré sous le charme de Camille. Il y a quelque chose de rassurant à voir cette énergie et cet appétit pour la vie. Je la regardais manger la salle des yeux, s’attendant à tout instant à ce que Dieu, le prince charmant, Méphisto ou la fée Carabosse, fonde sur elle, et cela me bouleversait. Quelle force il y a dans ces 18 ans-là ! En même temps, on sens bien que c’est déjà un autre monde qu’elle voit. Nous ne voyons pas le même. Le temps a tourné, mais c’est bien ainsi. Tout est en ordre.
Je t’embrasse,
C.

today

Oh. Il faut que je parte. Pas vu l’heure. Vais diner avec C. et l’autre C. nous retrouvera après le spectacle de Victoria, Aurelia Thiérrée que j’avais vue aux Abbesses.

Travail en réflechissant sans y penser. Faim subite . Je prends le vélo pour trouver un chine-viet pas terrible.

Gare. Parfois le train arrive en deux secondes , pârfois j’attends un peu PAPE ou PIZA ou PATA ,ce qui me permet d’observer les types en survet blanc. Il y a là une activité dans une vacuité terrible (à mes yeux). on dirait que les gars sont débordés. Ils sont nerveux, marchent vite. Ou bien le contraire total , à la super zen.

Une fille dans le Wagon vélo dit au téléphone:

_Oui… Oui … C’est J-2 jours, J – 48

Inutile de dire que vu le ton, ( plus tard)

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