MY ENGLISH SHOES ( JUST – E AS THE QUEEN LIKE THEM )

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English shoes

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 En rentrant, il était impératif d’acheter des chaussures. Mes converses sont trouées en dessous. Mais comment trouver des chaussures? ( qui me plaisent )

Me rendant à la Clé des Marques , haut lieu du Boulevard Raspail, mon oeil se posa sur des choses noires, anglaises.

“Elles sont magnifiques ou horribles “me dis-je.

Prenant une taille 4E impeccable et voyant que la folie-fashion ne couterait que 15 euros, je me suis dis que je pourrais vérifier à l’extérieur mon gout.

Abandonnant sur place leur boite quelque peu avachie je rentrai à la maison.

Mais déjà je vivais à Londres ou à Bristol, avais mon uniforme et moins de 15 ans et un cache-nez rayé et une cravate ou un kilt……

L’intérieur de ces chaussures est rose et ce sont des Start-rite dont le logo représente deux jumeaux.
Des Start-rite????
Lisez:
En devenant les chaussures officielles de la famille royale de Windsor dès 1955, Start-rite s’impose comme une référence.
Les chaussures Start-rite sont de grande qualité, elles possèdent une semelle spécialement conçue pour l’enfant, prenant en compte la stabilité et la croissance de ce dernier.
Avec deux cents ans de savoir faire, la maison Start-rite propose des modèles intemporels
(  Ca c’est certain!!!!)
 
Ah quel gout sûr que le mien , digne des rois!!!!
 
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FUCK LA FNAC

Etiquette

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il n’y a rien de plus détestable que la FNAC.

On trouve ( peut-être) un livre .

Ah génial ,” ils” l’ont! Mais il est microscopiquement abimé et c’est le dernier . On a beau chercher où est la planque . Il n’y en qu’un , celui-là.

C’est à dire qu’il est presque en état. Presque. 

Une toute petite corne sur la couverture réajustée ( du bout des doigts attraper la corne et lui faire subir un mouvement absolument opposé. Puis caresser la corne avec la paume de la main, comme pour défroisser une veste…)

Comment ne pas être suspectée de “refiler” un bouquin que l’on a déjà lu, en guise de cadeau immaculé.

Ce problème est réglé par le choix d’un autre ouvrage. Il faut donc que les auteurs sachent que l’on achète un livre, non parce qu’on le trouve bon, mais parce qu’il est propre.

Caisse.

On ne donne plus le fameux sac FNAC. On le vend. Oh dis-je en découvrant pour la première fois cette nouvelle pratique, c’est un peu fort et plutôt que d’en acheter un, orgueil oblige,je me suis retrouvée encombrée avec mes achats. Le clavier d’ordi droit comme un I dans mon sac à dos qui du coup s’ouvrait sans cesse, et les livres tassés le mieux possible , puis un sous le bras.

Tenter de faire un paquet cadeau avec le rouleau maronnasse, sur une table minuscule , avec des ciseaux enchaînés qui ne coupent pas puis, attention, tenter le scothchage…. Hum.

J’oubliais qu’il faut auparavant décoller le code barre adhésif qui , s’il n’est pas posé sur le prix déjà écrit d’une couverture brillante, glacée, se montrera particulièrement rebelle, embarquant un petit copeau de couverture en papier mat. Et vous serez suspecté d’avoir offert un coucou que vous avez déjà consommé.

Fuck la FNAC.

Vive les librairies qui font des beaux paquets cadeaux avec en plus des sacs plastiques écrits Christian Bourgois, et dans lesquelles  ( librairies )les gens ne téléphonent pas. 

Vive les occasions de chez Price minister qui arrivent à la vitesse de la lumière ( hum)

rappel/ Notes été

Meteorologia
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CHATEAU DES CARPATHES
La Stilla, cantatrice italienne, 25 ans
Rodolphe de Gortz, baron, propriétaire du burg, mélomane, de 50 à 55 ans
Franz de Télek, comte, 27 ans
Orfanik, savant au service de Rodolphe de Gortz
Rotzko, soldat, dernier compagnon de Franz de Télek, 40 ans
Nick Deck, forestier, fiancé de Miriota Koltz, 25 ans
Miriota Koltz, fille de Maître Koltz, 20 ans
Maître Koltz, birò (juge et maire de Werst), de 55 à 60 ans
Jonas, aubergiste juif, tenant le “Roi Mathias”, 60 ans
Patak, médecin de Werst (en fait ancien infirmier), 45 ans
Hermod, magister (maître d’école), 55 ans
Frik, pastour (berger), 65 ans
Le colporteur, juif polonais

 Norman Bates

Antony Crafton ( listes, livres  france cul 9h 30 vendredi 23)
Hazan histoire de la page
24 mai. —” Revu l’admirable Frankenstein (1931) de James Whale. Il me frappe que ce film qui emprunte sa forme à une théatralité assumée, ce film joué devant des toiles peintes — et qui est en effet l’adaptation d’une pièce de théâtre, et non du roman original de Mary Shelley —, obéisse d’un bout à l’autre à la logique du fait divers. C’est évident dans la scène où le monstre, qui joue avec une petite fille, la noie accidentellement.
Mais c’est vrai même de la première partie, qui se passe dans l’univers fabuleux de la tour-laboratoire de Frankenstein. Relèvent ainsi du fait divers l’aversion qu’éprouve Fritz, le représentant du Lumpenproletariat, envers le monstre, qui, lui, est hors-caste, et dont Fritz devient inévitablement le tortionnaire, la vengeance du monstre (qui pend Fritz), l’irruption sur les lieux du drame de gens qui n’ont rien à y faire, et qui ne feront que compliquer les choses, le père et la fiancée de Frankenstein, ainsi que le « meilleur ami » et rival. Fait divers encore, à la fin du film, l’irruption, au travers de la baie vitrée, du monstre dans la chambre de la mariée, que son fiancée a, par une erreur de jugement monumentale, enfermée à clé dans cette chambre, croyant la protéger. Fait divers enfin, mais je l’avais déjà noté ailleurs, la séquence finale, qui raconte une scène de lynch.
Je ne crois pas qu’une civilisation puisse échapper à la logique de ses propres images. Revoyant la fin de Frankenstein, je ne puis m’empêcher d’y voir une prophétie du nazisme.
Et la chose extraordinaire est que Triumph des Willens, de Leni Riefenstahl, qui est presque immédiatement postérieur (1935), est un anti-Frankenstein, puisque ce qui est montré dans Frankenstein comme des scènes de terreur (des femmes en costume traditionnel, apeurées, aux fenêtres de leurs maisonnettes médiévales, des gens qui défilent avec des torches parce qu’ils cherchent quelqu’un pour le tuer), est présenté dans Triumph des Willens comme un idéal ardemment désiré (les femmes aux fenêtres célèbrent l’arrivée de l’ordre nouveau, les porteurs de torches font une émouvante retraite aux flambeaux).
Ces images « riment » extraordinairement.”
Je ne sais pas où j’ai pêché ça. Là: Extraits du journal de Harry Morgan 2012

Azimov/ robot

clement pansa ers  (dada)
Le Pan-pan au cul du nu nègre : édition originale, page 13.
Nouveaux trucs nouvelles combines Broodthaers
Cilice mortification
Haire
Revoir le Mont-analogue de Daumal
Les singes qui fracassent les globes de verre ( Faust) cité Edith Wharton dans Les Dieux arrivent
 
CURIEUX
L’anagramme de Albert Einstein
Rien n’est établi
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20 AOUT Noté ça: “Le jour ou je suis devenue une camera de video surveillance”

Le jour ou je suis devenue une camera de video surveillance

Ecrire sur l’iphone est plutôt inconfortable. Mais je devais noter ce rêve.

Je ne m’en étais pas vantée mais il est temps de révéler que je suis celle qui a vu s’eteindre Salvador Dali .
Eh oui! C’etait vers 3 h du matin et c’était extraordinaire. J’avais bien conscience qu’au reveil tout s’évaporerait. Exact. Ne me reste qu’une promenade à son bras ( nous nous étions rencontrés et il avait été subjigué par ma personnalité rare) ( Rare est à prononcer en roulant les r comme dans ” le chocolat Lanvin” même si ce dernier n’a pas de R.)
Donc me voici adoubée par le Maître, élue. Héhé, me dis-je dans le décor de cette nuit, hélé !!! la vérité éclate enfin!!
Passé ce petit complexe de supériorité, j’ai poursuivi ce rêve, ramassé au passage une pochette à fermeture éclair et qui contenait du sang.Sang bien sombre et dense et qui coulait comme un fin ruisseau. Mais nous avancions Dali et moi comme Dante et Virgile. Je l’accompagnais chez les morts et déjà voyais qu’il avait perdu ses dents de devant. Depuis des années elles tenaient me confia t-il avec du Tricostéril.
J’ ai perdu les détails du voyage pour lequel je portais un pull -over rouge. A deux endroits sur le devant il présente deux étoiles blanches. Dali s’écarte de quelques mètres, reste ainsi isolé et nous dit ( d’autres personnes sont a mes côtés)- j’ignore qui.
– ” Déja je m’éloigne. Nous sommes dans des espaces de plus en plus étroits…”

Je me disais que cette histoire était née à la fois de ma coupe-tonsure à l’étoile, mélangée au fait d’avoir abandonné le projet de Nuit Blanche à Sainte-Eustache que nous avions surnommée Sainte- Moustache.Bon retrouvons la réalité, la Syrie, la Grèce. Temps magnifique pour cette premiére journée du tome 2 de l’été.Entendu l’expression” Soldes sinceres” : pfff…

Survivre à la perte de l’enfance ( Olivier Py)

“L’Art est un surplus de vie, pas une douleur“La douleur magnifique est fascinante”.

“Penser au suicide”.

Tiens pourquoi ai-je écrit ça?J’ai certainement entendu quelqu’un le dire à la radio. Sais plus.

En tous les cas j’y ai pensé et Bernard l’a fait.Avant hier.Il s’en va et un morceau de Rome avec lui.Ce qui est amusant pourrait on dire c’est que sur la route du retour je pensais entre mille autres trucs à la nécessité d’aller à Amiens ( chose qui ne me plait pas ) et par la même occasion de ramener les peintures de B.

Penser au suicide.Mauriac et le liquide rouge dans le bain.

Herzog

Mountain lion

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