Dimanche

Viens de terminer ” Une femme simple et honnête” qui en fait est un roman du 19eme écrit en 2009 par Goorick; Bon maintenant , Chambre avec vue.

Pendant que R . travaillait , suis allée marcher un peu mais il faisait froid et je me suis réfugiée à Saint-Georges avec mon bouquin et un thé.

Soirée très agréable mais je crois que l’on a épuisé les réserves de vin blanc du Sud de Paris

Suite/ un parapluie dans le dos

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Henner

Le pire quand il y a traitrise et qu’on l’a analysée, c’est de masquer sa colère et donc d’être obligé de feindre.C’est de se persuader que c’est plus intéressant que blessant. Que c’est à mettre dans la collections d’insectes dangereux même si la bestiole a des couleurs douces et une forme séduisante. Sous les ailes, attention aux petits crochets venimeux. Il y a évidemment plusieurs cas de figures. Si c’est un ami on lui rentre dans le chou ou pas et on ne le voit plus jamais. Si c’est pour le travail hum. Le plus intelligent est de feindre en retour, sans s’occuper de son propre orgueil et de son envie de tuer! Je me dis qu’en politique c’est monnaie courante, les retournements de veste, les mensonges, les perfidies. On s’attendrait à mieux là où je respire. Mais pour cela j’ai bonne mémoire. Evidemment je ne peux raconter ici même si j’en brûle d’envie.

Il y a un autre cas de figure qui donne aussi quelques aigreurs: Celui de la personne qui tout à coup est souvent sur votre chemin, sympathise avec vous. Vous ne voyez rien venir, êtes content de cette relation naissante et intéressante. La personne, disons X, vient aux vernissages régulièrement, vous montre son travail qui est plutôt bien. Un beau jour vous la présentez à votre marchand, il se rend à son atelier et là… silence radio, plus de nouvelles. Formidable. Vous ne voulez pas  prendre de nouvelles par principe, parce que….

J’appelle C.à la galerie et  lui demande comment ça s’est passé et il me dit que pour sa galerie, c’est non.

Fin de toute relation, pas un merci, et plus une venue au vernissages. Fantastique. Un mois après un coup de fil quand même. Pure formalité arrivée trop tard. Dans ces cas là, je ferme mes rideaux et peux devenir malveillante. Je déteste n’avoir rien vu, m’être laissée abuser et tromper. C’est arrivé peu de fois.

Bon. Hier j’ai passé la journée au musée Henner qui ouvrira en Mai. Filmé. Je ne sais pas trop quoi, dans cette maison étrange avec des escaliers à la Hitchcock, des miroirs , des colonnes, des moucharabiehs et des grands ateliers. Seul tableau présent, la femme au parapluie. Son visage irradie. D’autres oeuvres à la réserve dont une fantômatique, à la James. Ce n’est pas un grand peintre mais c’est intéressant de voir qu’il a peint sur des couvercles de boites à cigares , sur des cartes postales…

Je n’ai pas fait de photo car , où est passée ma batterie. Mystère.

Visites à l’atelier. Deux personnes dans la semaine c’est plus qu’en 15 ans !!!!! EB du Musée Picasso et LB. Très agréable. Je redoute toujours un peu.

On a regardé les Cesar avec C et V et R  et hier suis passée chez MC pour lui donner son cadeau .

Déjeuner aussi dans la “cellule ” de E. On se sent bien à l’abri dans son petit studio.

Expo Picasso Mania. Expo Alberola Lecture Peinture

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ENVIE DE NE RIEN FAIRE

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Toc à Florence / Chanel au Flore

Je regarde Californium ( Arte/ PK Dick ) et comme je n’ai jamais joué a des jeux vidéos, je ne sais pas démarrer. Bon . Fini  Cornes. ( J. m’envoie un lien vers un trailer immonde. C’est exactement ce qu’il ne fallait pas faire. Continue l’arrêt de mort de Blanchot. Regardé les Anarchistes . Joué au tennis. ENVIE DE CAMPAGNE. J’ai commandé Chambre avec vue.

DE CARLO PORTELLI A MARGE CHAMPION

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C’est un drôle de peintre que ce Carlo Portelli. J’ai eu beaucoup de plaisir à le découvrir à Florence. Il y a quelque chose d’un peu sauvage là-dedans, d’un peu brutal, un peu laid. En regardant la main gauche( je trouve que l’index et le majeur ressemblent à des jambes de femme dont on peut imaginer la pose un peu lascive ) je pensais à Bronzino et m’aperçois qu’ils sont contemporains à 5 ans près ( 1503 ) . Quand ils naissent Piero di Cosimo 1462 a plus de 40 ans.

La tête sculptée à l’arrière me rappelle ceci dont j’ai oublié l’auteur ( Florence aussi )

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Je me suis replongée aussi dans le catalogue de l’exposition Disney ( après avoir imité Mardi la jeune fille qui était employée par les studios hum hum !!!)

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Blanche-Neige :

…/…«J’avais 14, 15 ans, quand j’ai été choisie pour servir de modèle à Blanche-Neige. Après les auditions, je suis arrivée aux studios Disney et j’ai rencontré Walt Disney, a-t-elle poursuivi. Vous savez, il m’a choisie parce que j’étais une jeune fille très polie. Mon père m’a toujours appris les bonnes manières et c’est une chose à laquelle Walt Disney était très sensible.» Ce qu’elle ne dit pas, c’est que c’est également la grâce et la fluidité de ses mouvements de danseuse qui lui ont permis de décrocher ce rôle tenu secret jusqu’en 1938, soit huit mois après la sortie du long métrage d’animation, aujourd’hui devenu un classique et une référence dans le domaine. En effet, sans un reportage publié dans les pages du défunt magazine Life, et dévoilant son identité et sa contribution au dessin animé, personne n’aurait jamais connu son existence, ni même son rôle dans la création de cette héroïne, le nom de Marge Champion n’apparaissant nulle part dans le générique du long métrage.

«Walt Disney ne voulait pas qu’on sache que Blanche-Neige avait eu un modèle, il pensait que cela empêcherait le public de rêver et d’apprécier le film. Il pensait que cela enlèverait de la magie», a-t-elle confié de sa voix douce et aujourd’hui chevrotante.

Car l’adolescente de l’époque ne s’est pas contentée de poser quelques instants pour le rôle iconique. Loin de là! Habillée en Blanche-Neige, elle jouait toutes les scènes du film dans un décor le plus fidèle possible à ce qui allait être présenté à l’écran. Ensuite, les animateurs prenaient la pellicule et, à l’aide d’un papier transparent, recopiaient sa silhouette, ses mouvements et les expressions de son visage. Puis, image après image, ils créaient le conte de fées, le coloriant à la main et s’assurant de la cohérence visuelle des séquences. Au final, Marge Champion s’est présentée trois ou quatre jours par mois pendant trois ans dans les studios Disney, et l’équipe passait ensuite des semaines à répliquer ce qui avait été film…/…

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Tiens Regis Debray a écrit un opéra sur Walter Benjamin.

J’ai poursuivi finalement la lecture de Cornes. Ce n’est pas Flaubert mais ça pourrait être un film interessant à condition que le héro Ig n’ait pas de cornes bien sûr.

Soupirs et satisfaction mélangés

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De fil en aiguille , et après la lecture de Plein gaz qui m’a assez plu(e)? dans le genre, j’achète Nosfera2 et Cornes. J’ai commencé le premier et je crois que je n’aime pas du tout ces machins un peu fantastiques avec un pont qui disparait quand on l’a traversé. En matière de pont je préfère Brigadoon. J’ai offert le livre à une personne du secrétariat qui m’avait prêté Plein gaz et qui voulait celui-là. Bon. Cornes. Un mec se réveille avec des cornes sensibles. Ecriture crue. Ce qui n’est pas mal c’est que ces cornes permettent de savoir tout sur les gens, leurs turpitudes derrière la façade.Bon. Bof … On verra je crois que je perds mon temps. C’est pas bon. Se remettre à… A une semaine de distance, Crumley me plait toujours.

Mort de Zulawski

Travaillé avec plaisir. Les paillettes sont cette fois ci à la bonne taille. Ce sont les plus fines. Coup de fil à A. pour parler des étudiants “bloqués” . Ceux qui ne VEULENT rien savoir d’autre que ce qu’ils savent. Ce sont les pires. Ceux qui ont peur de s’abimer ( dans les deux sans, avec ou sans accent ^qui est bien utile pour la nuance ) au contact de ce qu’il ne connaissent pas et de gâcher leur imagination, sensibilité etc. Je me dis que c’est un excès d’ego ( cultivé par les familles en général qui pensent que leur rejeton est Artiste )et pour finir jeune ou pas jeune ça m’ennuie trop. Le devoir pédagogique est une chose. Un âne borné de 15 à 80 ans qui ne veut pas avancer, invoquant un “tempérament rebelle et un je suis comme ça “, on le laisse brouter me dis-je quand je suis grognon. J’ai aussi mes exemples. Avec des gens différents. Ceux qui tentent vraiment de comprendre. Et ceux qui, même intelligents …. bref.

CE SOIR L’ÉMISSION SUR LES DOCKS ÉTAIT TOP: PARO

Florence

Jeudi 9 juillet. —

Il y a chez moi un oubli extraordinaire des pays étrangers que j’ai traversés, et j’entendais, ce matin, avec stupéfaction, un jeune homme qui racontait à un de ses amis un voyage, remontant à plusieurs années, et cela avec le nom des localités et la description des paysages, comme s’il les avait sous les yeux. Chez moi, cette mémoire n’a rien du ressouvenir des choses réellement vues, c’est plutôt comme la réminiscence de choses rêvées. Journal des Goncourt 1885

Le type qui ressemble à un personnage de Dickens Masaccio Crumley Plaute en Italien. Casa del fantasma Le mail de Nuccio Ordine Le chinois au chewing-gum Le soleil Les blasons La trattoria près de l’hôtel La terrasse de ma petite chambre Le cimetière Anglais qui aurait inspiré Böcklin pour l’île des Morts Mes bagues en toc L’arrivée à Bologne à cause du vent Le pape et le pope La chute des princes Le petit livre sur les jardins de Pitti Le dernier risotto La polenta de carciofi L’accent florentin ( C= H aspiré ) Les selfies La tribune Les cires de La Specola La beauté de tout ça Les boutiques de luxe Les tout petits bars de quartier L’hotel familial avec le Monsieur et son registre à l’ancienne, son costume trois pièce et sa gentillesse L’ascenceur avec une grille. Botticelli inaccessible Pas de téléphone Marcher, marcher et encore marcher Quelques messes Savonarole etc, etc, etc…

Ca a commencé par un avion qui ne peut se poser à Florence mais à Bologne à cause du vent. Va pour Bologne. Puis un car. Ce n’est pas désagréable. Jamais je n’ai vu Bologne et je me dis que je vais m’y arrêter et prendre un train plus tard. Finalement non. J’arrive à l’hôtel, Le buste du Grand Duc un peu peinturluré est là dans l’entrée sur un colonne et devant l’ascenseur avec grille à l’ancienne. Un homme tout sec en costume trois pièces m’accueille et remplit consciencieusement ma fiche. On se croirait au 19eme siècle. J’ entre dans ma petite chambre avec terrasse. La 24 au second. Je vais attendre M. qui n’arrive qu’après moi et par Bologne aussi. Promenade nocturne. On est un peu loin du centre-15mn, ce qui est parfait et permet d’échapper à tout ce qu’on déteste. les selfies devant le baptistère et partout. Les perches; la bêtise. Mais le mercredi c’est bien. Le pire est le WE mais on ne sera plus là. On est à deux pas du  Cimitero degli Inglesi ,  qui n’ouvre que l’après midi, ressemble à une île et où sont les tombes des enfants de Shaekespeare. “La ressemblance est stupéfiante avec le tableau de L’Ile des Morts (1879) d’Arnold Böcklin (1827-1901). Le peintre s’en serait inspiré pour les cinq versions de cette oeuvre célèbre, exécutée après le décès de sa fille Maria Anna (1877) morte et enterrée à l’âge de 7 mois. “.

Je me suis laissée guider, ce qui est très agréable. Dans la chambre , Crumley ( je regarde a quoi il ressemble et me dis que c’est exactement le personnage du bouquin. Le titre , heu… Dernier baiser et moins bon que le précédent qui était : Le chien ivre ou un truc du genre.) Puis j’ai attaqué ” La chute des princes ” de Goolrick, acheté au pif à l’aéroport. Excellent. Ce que j’aime dans ces livres ( séries noires, polars etc…) c’est que je ne sais RIEN des auteurs . L’écriture est charnelle. Ca saigne et ça respire fort. Ca baise, ça transpire et les personnages sont des héros à l’envers, des types qui font comme ils peuvent.Qui sont souvent fripés, fatigués, dépassés par ce qu’ils n’attendent plus de la vie. Ca sent la vodka et ça picole tellement que c’en est presque ecoeurant. Goolrick écrit le récit du trader de Wall street . Terribles années 1980 où l’argent coule à flot et le Sida suit la courbe des bénéfices. La cocaïne saupoudre tous et toutes. L’argent. L’argent. L’argent.Vegas, le poker, gagner et perdre. Amis qui se suicident ( l’un prend soin d’ôter ses chaussures sur mesure et de les placer sous le bureau avant de sauter)  et disparaissent sans que cela ne change grand-chose. Trahison et vulgarité. Argent et encore argent. Puis enfin, Proust , une librairie, une bague.

J’adore être dépaysée comme ça, dans des milieux qui me sont inconnus.

Dans une belle petite librairie, j’achète Plaute en Italien ( bilingue latin-Italien ){La mostellaria, La farce du fantôme, La comédie du fantôme, le revenant, La casa del fantasma}

De la même façon, dans La Comédie du fantôme, l’utilisation du lexique de la vue fonctionne étroitement avec celle du vocabulaire de l’ouïe, et le thème du regard entretient des rapports privilégiés avec celui de la ruse et toutes ses implications conventionnelles dans le code comique : l’amour, qui est au fondement des intrigues figées de la palliata plautinienne et qui constitue la fin dramaturgique de la duperie ; les thématiques de l’ivresse, du sommeil et du rêve, dont je m’efforcerai de prouver qu’elles sont indissociables du regard en ce qui concerne la théorie de la connaissance, notamment de la vérité par rapport au mensonge, et de la réalité par rapport à l’illusion ; le lien entre le regard, la ruse et le pouvoir conformément à la tradition comique du renversement carnavalesque entre les maîtres et les esclaves ; la ruse comme métaphore de l’illusion théâtrale dans la tradition d’auto-réflexivité des comédies de Plaute ; le rapport, parodique ou non, de la comédie avec la mythologie et la tragédie autour du thème de la vue.

et un petit livre vert sur les jardins Boboli où nous ne sommes pas allés. ( j’ai déjà parlé quelque part des sculptures représentant des garçons aux yeux bandés et qui jouent à deux sortes de jeu- giocco della Pentolaccia et gioco del Saccomazzone )

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Orazio Mochi / Saccomazzone

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giocco della Pentolaccia

Par contre un peu plus loin il y a “La Specola ” Et les hallucinantes cires anatomiques de Clemente Susini. Avant de les rencontrer on traverse une trentaine de salles pleines d’oiseaux, de pierres, d’étoiles de mer et d’insectes. En tout et pour tout deux ou trois poissons blancs qui tournent dans un petit aquarium. Les vitrines -ouf- n’ont pas subi les criminelles rénovations propres au Muséums d’histoire naturelle ( voir l’horreur de Bruxelles, et Venise, Paris aussi ). On marche on marche, pluie ou pas, Offices où non, chacun de son côté ou ensemble. Je prends beaucoup de photos, beaucoup de détails et aussi presque tous les plafonds peints de grotesques de la première galerie. Les gens avancent comme des animaux, je me fâche en contemplant “La tribune“,(“…/… Elle représente la transition entre le cabinet de curiosités personnel (studiolo de François Ier du palazzo Vecchio par exemple et le musée moderne. )merveille de pièce octogonale à coupole incrustée de coquillages de nacre. Sublime endroit sans ce Chinois qui mâche son chewing-gum dans mon oreille et passe sa main et son appareil photo devant moi. En plus il n’a pas débrayé le son et à chaque réglage bip bip et déclancheur… Bref… Je le regarde méchamment en faisait le bruit de sa mastication.

Le pire ce sont les gens qui utilisent comme simple fond toute splendeur, eu se selfisent en souriant et en faisant le V index-majeur. Du pâté dans la tête, et du mauvais. Fait avec des mauvaises viandes grasses et sans parfum léger de thym ou de genièvre.

Tout était beau, tout était bon. Le restaurant du soir, adresse secrète de MT, une merveille. Des choses jamais mangées comme cette sorte de Polenta d’artichaut avec au centre des feuilles tendres farcies au fromage, des “Gugni” je crois, je ne sais pas bien ce que c’est mais c’est délicieux, des soupes de légumes…

Ufizzi, Accademia, San Marco, Palazzi, Bargello, Chiese…

Un soir au lycée

J’ai bien travaillé cette semaine. Je suis contente. J’ai terminé ” la mort, entre autres” qui est un bon Kerr, commencé un petit livre intéressant sur les fan d’Apple ( Rossella Rega ), enchainé sur ” Plein Gaz”(Throttle) de Stephen King et Joe Hill et commencé un “roman noir polychrome ” que m’a passé   qui travaille aux BA.

Après je me remettrais aux choses sérieuses. j’ai vu que L. lisait Edith Sitwell. L. est je crois un des étudiants qui a le plus de personnalité.

j’ai acheté La Grèce ancienne de Vernant en 3 livres. ( Réussi à mettre 3 étudiants sur ce chemin ! )

Fait passer l’UC au garçon Japonais qui me dit que les mots n’existent pas en Anglais pour traduire des sensations ” japonaises “. Il me montre une feuille de papier japon, la fait en peut bouger devant son visage et me dit: Ghost. Il veut parler de ça et aussi des paravents.Il a installé des dessins à l’encre de chine ( mais je sais qu’il ne dessine jamais ) et les a fait tenir avec des cailloux. Il est marrant ce type, mais ce doit être infernal pour lui de ne pas parler la langue.

Les histoires familiales ne sont pas au top mais j’ai à mon grand étonnement beaucoup de distance et suis peu affectée. C’est drôle les frères et soeurs quand même.

“The Lobster” j’abandonne

Conasse princesse des coeurs, j’abandonne

Birdy. Je regarde. Je trouve que c’est une très mauvaise idée de l’avoir fait voler et aussi qu’il déplace des objets. Sinon le scénario est bien et les acteurs top.

C’était drôle de se retrouver dans le noir de ce passage rue Saint-Jacques. Et 5 mn plus tard de surplomber la cour vide du lycée Louis Le Grand. Quel endroit! Et une soirée délicieuse.

Vite

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“J’ai pris un cours de lecture rapide et j’ai pu lire “Guerre et Paix” en vingt minutes. Ça parle de la Russie”. Woody Allen

ou la la il faut que je file/

En bref enfin une fille qui crée des smoking pour femmes; BHL dans le presse c’est toujours à mourir de rire ( les poses ), des photos de presse très ( trop )belles de l’horreur qui nous entoure, Weiwei dans la pose de l’enfant mort au bord de la mer ( bof ), heheheheheheu au boulot, des designers intéressants, temps gris

Plus de rêves ouf ouf ouf

Dimanche studieux

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Pas mal le tennis ce matin. Pas mal. Pluie qui mouille.

Voilà le projet pour France-Culture envoyé, la lettre à Nuccio Ordine, la rédaction du sujet deuxième semestre et ce qui m’ennuie le plus: recopier les résultats des UC. Plus de non que je n’imaginais. Tout au moins plus de “à confirmer” au deuxième semestre.

Pas pensé à grand chose d’autre. Demain on travaille au sous titrage du film. Puis galerie. Mardi Cours.

Cette nuit j’ai trop rêvé. C’était infernal. Des chaussures fourrées à la tranche de saumon bio, une ville de Picardie, à vélo la nuit, le vélo disparu qui me rend dingue, le vélo retrouvé dans une housse de pied photo, des gens qui me jettent des balles de golf, la salle que je traverse et Claude Regy agonise, l’obscurité, les médicaments, les tickets de parking à côté d’une cathédrale. Ouf parmi les 100 tickets on trouve le bon, une page imprimée et dans le haut un carrosse et des chevaux dessinés au stylo bille et à l’envers, un cours étrange, sorte de yoga avec des gens anormaux. Je me retrouve avec tous les téléphones portables des gens dans mes poches et pas le mien. Dessiner sur du papier calque. Je n’ai pas payé les médicaments. Deux de mes doits étaient collés et on a du couper pour les séparer mais je dois aller à l’hopital mettre un tube(?), je parle et parler me reveille. J’en oublie. J’en oublie. C’est infernal. Pénible bruyant. Je me répète ” Tais toi, tais toi”, mais je recommence à soliloquer à peine les yeux fermés.

Travail avec C. pour le sous-titrage et je ne me souviens pas de ma version définitive.

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