30 AVRIL

Mardi soir, Centre Pompidou, fin du diner des amis .

Hier on a travaillé comme des bêtes et surtout porté du matériel. Au 4 , il y a toujours une voiture qui bloque le passage, malgré le mot que j’ai laissé. Les gens veulent avoir leur voiture au bout de l’oeil, et comme la population est devenue assez bobo, que les lofts ont remplacé les ateliers….On a même une Porsche dans la cour maintenant, je n’ai rien contre d’ailleurs mais c’est pour dire. Bref. On porte. J’avais envie de massacrer la voiture du type avec une barre à l’arrache. Parfois il n’y a que ce langage.. Il n’a pas voulu la bouger cet imbécile. B. l’a traité de FN et  c’est parti. Les plaques d’acier c’est pas du léger et moi je n’ai pas grand chose dans les bras. J’aurais bien besoin d’une remise en forme comme on dit. Plus de tennis, plus de gym…  L’autre jour c’était la fille moche qui n’a pas voulu avancer son 4/4 de 20 cm , ce qui aurait évité des manoeuvres au camion.

Ca éternue sec avenue Trudaine avec le pollen. Suis sortie tôt ce matin, pris mon café au coin, papoté avec Dédée et le Père qui sont si agréables. J’ai dormi comme un loir et j’ai envie de marcher. Avenue. La brocante est à moitié ouverte. Ca me barbe les brocantes. Je n’aime pas ces tapis, ces verres anciens et autres chaises fauteuils et vêtements militaires qui sentent le renfermé. Deuxième café à la terrasse des Petits gros. Dégueu le café entre parenthèses. Et lecture.

Hier j’ai ressorti les contes hiéroglyphiques de Walpole. En parlant d’Egypte, Vincent est monté hier matin et on a parlé de l’état de A; Puis il m’a dit les nouvelles découvertes concernant Antinoë. Echange de SMS dans la journée avec A. qui est toute contente d’avoir pris 3 kg. Ca fait  41… Je la traite de grosse. Elle est dans le hall de l’hosto ou elle a un copain, M, qui est un clodo. Elle est incroyable de résistance. J’y suis allée Vendredi.Y retournerai demain.

Hier soir rentée de l’atelier à 22h.

Bon au boulot pour le catalogue.

Texte corrigé toute la journée et ce soir cinema “Le procès du siècle” Place clichy.

Je suis à la fois le chat et la souris

Ce chat qui ne m’appartient pas me colle et se plait dans mon atelier. je l’aime bien, je lui parle et je le vire sinon je ne fais rien. Rien excepté lui dire des conneries gnan gnan, genre «  c’est un beau chat ça, oui tu es un beau chat, ouiouioui.

Bon le jour je travaille comme une bête plus mes visites à Villejuif pour voir A.

Le soir je fais l’imbécile-les souris dansent..

Me suis réveillée à 9h… Là j’ai réellement envie de ne rien faire.

“Croyez moi quand la terre entrouvre se abîmes…”

Je ne sais pas qui est Erri de Luca( en me relisant j’en sais veaucoup plus, son engagement politique d’extrême gauche, ses années chez Fiat, l’organisation de son temps libre en dehors de l’usine etc… ) mais je ris en l’écoutant raconter ce que le Vésuve est pour un Napolitain. Il dit qu’un Napolitain enfermé dans une pièce noire, sait de quel côté est le Vésuve et raconte que Saint Janvier, San Genaro est le Saint spécialiste en éruptions. Il suffit de coller la statuette pieuse contre la montagne et l’éruption cesse.

 “Quand j’écris, je chuchote parce que je pense qu’il est resté aveugle ( son père ) même là où il est, et qu’il n’arrive pas à lire la page derrière mon épaule. Il aimait les histoires et je suis encore là pour les lui raconter, »

Il est drôle ce type dont je sais maintenant évidemment qu’il est Napolitain, écrivain, scénariste, acteur à ses heures et  premier quinquagénaire à gravir une difficulté classée 8b (Grotta dell’Arenauta di Gaeta classée 8b+)

Me voici à présent dans les cotations des difficultés d’alpinisme: hard very severe, c’est le 8B.

Ce matin je traine un peu et suis réveillée par Erick qui comme tous les Samedis matins passe l’aspirateur au dessus de ma tête!

“Catastrophes naturelles et calamités ».  La calamité ces temps-ci , c’est Marine le Pen, qui ne l’oublions pas, est la fille de son nazi de père. Elle est balaise et va séduire du monde avec “son bon sens » qui parle aux gens qui se sentent fragiles, menacés par l’autre, celui qui n’est pas d’ici, l’étranger même s’il est du village d’à côté. Son populisme est abject. Berk. Le pire est que cette saleté a des chances. C’est certain qu’on se la tape au premier tour. Je n’aime pas Mélanchon.

Cohn Bendit lui est pour Macron. C’est surprenant. Et l’autre béta de Fillon, qui flirte avec l’extême droite. Et puis merde.

J’ai bien travaillé hier , me suis aussi endormie sur la terrasse en plein soleil, fini mon polar . Puis suis allée manger mon boeuf carottes réservé le matin chez Dédée.

Je voulais ce matin aller voir l’expo Golem , mais j’ai la flemme. Si le RV cet aprem ne finit pas trop tard j’irai à villejuif voir A. qui a l’air de perdre le moral.

Elle m’envoie un SMS dingue en réponse à ma question: —Est ce que je viens?

—Je veux bien le skippeur mais à condition de savoir si Splielberg à Ushuai( être le capitaine à bord ) 

No comment. Morphine? Sais pas. J’irai demain.

Aujourd’hui le RV a duré longtemps et trop tard pour y aller. C’était intéressant de savoir comment faire les éléments à construire.Puis on a regardé à nouveau la maquette sketch-up. On a ri en rajoutant une colonne.

Je vais sans doute devoir changer mes dates d’examen. Car le 2 et 3 ça va être l’usine. travailler la résine, avec un spécialiste. Laurent. Très sympa

Pas été à Arg du coup. Benoit m’a déposée à la Répu et je suis allée chez Muji acheter des classeurs. Je m’arrête sur la place pour écouter une femme tchétchène qui raconte l’enlèvement de son fils. Un garçon avec un porte-voix traduit. Une femme pleure. Des Boudhistes passent en chantant, plus loin des palestiniens avec une banderole. Ai acheté un nouveau polar de Ellory cette fois-ci. Et le bouquin de de Luca. On verra. C’est pas le moment de lire des trucs intenses. ce que je veux, c’est juste ne pas voir les transports, me changer les idées . Une récréation.

Ce soir je reste tranquille. Je ne fais rien. Lire ou regarder un film.

 

SCENES DE LA VIE ORDINAIRE

Hier j’ai écouté d’une oreille france-culture pour changer un peu . Eh bien ça fait peur. Je repense au formidable petit texte , tout petit, brun ou brune ou je ne sais quoi, qui infiniment simplement décrit la contamination de langage par le mot brun. une sorte de LTI de Klemperer en 6 pages ou moins.

Je suis terrifiée à l’idée d’un second tour Mélanchon-Le Pen. Terrifiée tout court de ce qui PEUT nous attendre. Quelle merde.

Hier mon retour en train d’Argenteuil ( pas le direct, celui qui s’arrête ). Houleux on peut dire. J’ai mon vélo et un type genre roi du monde me demande de le pousser car je bloque un strapontin. Ce qui est vrai. Le train se remplit de plus en plus. Je lui dis qu’il pourrait être aimable et ça commence. Ca fait:

—J’men bas les couilles de toi. Tu m’fais pas peur avec ton livre conace. Je vais t’l’arracher ton livre.

Je lui dis de se taire qu’on a compris. Ca continue:

—J’vais t’égorger. Oué avec un couteau. J’men fous de retourner au placard. J’tégorge devant tout le monde.

Moi j’ai lâché l’affaire. je lis et ça le rend fou.

—Retiens bien mon visage parceque je vais te retrouver et je t’étrangle. Même devant 50000 personnes je t’égorge avec mon couteau. Schlack

Moi: —oh!!! Comme j’ai peur. Comme je tremble.

—Vazi fait la maligne. t’as une grande gueule toi. On sait même pas si t’es un mec. J’te retrouve en taule j’te sodomise

Moi:

—Pourquoi pas tout de suite? La probabilité d’aller en taule pour moi est mince.

Je replonge dans mon bouquin , mais sincèrement ça devient pénible. Personne ne bronche, une africaine lève les yeux au ciel et il lui dit de remonter dans son cocotier.

—Oué tu peux appeler les flics sale conace me dit-il.

Moi en souriant:

—Pour quoi faire?

Un Monsieur à l’accent de l’est me dit de ne plus parler et il reste près de moi, ne veut pas que je sorte sans lui. Un autre au moment où tout le monde descend dit au gars:— Vous êtes malade. L’autre redevient fou. On sort. Il s’est enfin tû. Moi j’avance tranquille, me retourne quand même par précaution. Il est au milieu du hall, tout seul comme un con.

Je grimpe avenue Trudaine et on dine avec Julie aux Petits Gros. c’est un peu bobo, mais c’est sympa et c’est bon. Il y a de vrais plats du jour avec des produits frais et des vrais hamburger au cantal.

J’ai peint tout l’après-midi en grognant . C’est dur. Grrr.

Ce matin, Benoit à 8h. Ca avance. La semaine prochaine ça va chauffer. j’ai peur des prises d’empreinte. A côté je me dis qu’un IRM c’est Bambi. Sais pas. Bon à la guerre comme à la guerre.reçu le livre sur la bibliothèque de Hitler. Ça à l’air intéressant. hier aussi, RV avec Teresa Faucon pour le texte sur la video. J’aime bien cette fille. En fait autour de ces préparatifs je rencontre des gens super.

Bon je file en espérant que Jack l’éventreur ne soit pas dans le wagon !!!

 

L’affaire du portail

Au lieu de ne carrément rien faire. Je fais quand même. Correction de l’entretien, liste de ce qu’il y a à faire ( au secours ). Envoi d’images. chercher des infos sur le réticulaire, lenticulaire ou je ne sais quoi.Un peu de lecture de je ne sais quel polar dont le héros est un médecin légiste. Necropolis de Herbert Lieberman. Je passe du temps à la morgue à rassembler des vertèbres et des bouts de peau. J’oublierai ça à peine fini. Mais ça me fait plaisir.

Heu. Quelques jours plus tard; En attendant TF. Bazar dans l’appartement. Des bouts de papier partout et aussi des miettes de papier doré qui enveloppe les oeufs en chocolat offerts par BB au bistrot. BB dit et j’en ris encore: «  En francs ça m’a couté 5000 euros. C’est cher. Ah oui !!!! » il me dit que les oeufs viennent d’une grande maison. Bref. c’est dur d’enlever ces enveloppe multicolores. J’aime le chocolat au lait ou blanc. Pas le noir. Pas du tout.

Ca fait un moi que le portail me martyrise. Je me sens appliquée. Mon modèle qui est une splendeur victorienne me paralyse tant je ne me sens pas à la hauteur de ce truc si compliqué, si dingue. B. arrive et regarde au sol ce que j’ai fait. —T’as des ciseaux ? Me demande t’il. Je vois ce qui va m’arriver et par précaution, je photographie, ce que je suppose va disparaître sous mes yeux dans une minute. Exact. Il commence à prendre des morceaux: Tu préfères ça ou ça? Tu préfères , celui là ou celui là. Il colle les éléments sur le miroir et un beau portail se construit. Plus fou, moins plan plan. Plus plan plan.

J’ai ri en écoutant ce matin, Jacques Alain Miller psychanalyste qui ne mâche pas ses mots et se fait reprendre. 5 de fil en aiguille j’écoute Lacan dire «  je suis un clown » et ne m’imitez pas. Je l’adore. qu’est ce qu’il me fait rire. C’est l’anti-chiant. Non?

La grande peinture avance, vers quoi je n’en sais rien. C’est un peu lent. J’ai été surprise de revoir les étapes de Pratolino ( sais plus son titre ). C’est fou comme je ne fixe pas ces étapes, et c’est fou de voir comme ce qui surgit du fond se métamorphose, disparaît, revient. J’aimerais faire une copie de Barnett Newman. Tiens je re-regarde. Ca fait quelle taille ce zip?

Je suis certaine que mon RV va arriver PILE à l’heure. Dans 5 mn ça va sonner.

Après je file peindre.

Object Label The Promise was one of Newman’s earliest “zip” paintings. Begun in 1949, these works were radically abstract, with subtly inflected monochromatic backgrounds partitioned by narrow vertical bands—or zips, as the artist called them—of contrasting colors. To make The Promise, Newman laid down two strips of masking tape to demarcate the zips, and painted the ground black. He then removed the tape and painted the blue-gray stripe at the right with a palette knife, producing a textured and irregular effect. When the black paint was dry, he filled in the stripe at the left, taping off the edges to create a precisely defined zip in off-white. The juxtaposition of the two zips causes visual tension, activating the surface of the canvas. Newman believed strongly in the power of abstraction to communicate the most dramatic and elemental aspects of human existence—the sense of alienation and vulnerability that followed in the wake of World War II, as well as an abiding faith in creation and new beginnings, as suggested by the title and composition of The Promise.

« La tentation la plus dangereuse : ne ressembler à rien. »

Camus carnets

Ceci nous incite à considérer une œuvre d’art non pas seulement comme un produit fini dégagé de tout contexte, mais comme le résultat d’un processus dynamique, celui de sa gestation puis de sa création et de sa réception. En d’autres termes, remplacer le beau, le sublime, le laid, le dérangeant, l’impressionnant, l’habile, le virtuose, le bien fait… par ce que l’artiste exprime, ce qu’il veut dire, ce contre quoi il s’insurge… Et juger de sa pertinence à sa capacité à l’exprimer, à faire passer le message chez le regardeur…

REVE

 

A Madrid il y a deux ans

Cette nuit, la petite fille d’en face est déguisée en ours et précédée d’un petit chien entre dans l’appartement. Trois personnes la suivent et ils veulent visiter. Moi je ne veux pas allumer la lumière. Dans la rue, tous ces corps. Je suis épargnée. Attaque au gaz. C’est atroce et pourquoi , moi, je n’ai rien. C’est l’image de Libé avant hier qui est revenue. ce qui est terrible c’est que sur ce document on dirait des mannequins allongés en désordre. Hier bien travaillé. Puis Mariage à l’italienne.

Un SERPENT et UN GROS MENUISIER ITALIEN

“Un menuisier surnommé « il Grasso » (« le Gros ») fait partie d’une joyeuse bande qui se réunit souvent pour dîner. Le Gros, un soir, manque la fête, et ses compagnons décident d’en tirer vengeance. Filippo Brunelleschi, qui est des leurs, suggère de lui jouer une farce en lui faisant croire qu’il est devenu un autre. Lui-même lance le jeu en s’enfermant dans la maison vide du Grasso, et, quand ce dernier veut rentrer chez lui, il contrefait sa voix et, à travers la porte close, s’adresse à lui comme s’il était un certain Matteo. Le pseudo-Matteo, tout éberlué, est alors arrêté par des sbires pour les dettes du véritable Matteo et jeté en prison. Il s’y convainc qu’il est devenu Matteo, quand non seulement ses codétenus, parmi lesquels un juge compatissant, l’admettent sous sa nouvelle identité, mais des passants de sa connaissance feignent de le reconnaître comme Matteo. Après une journée difficile passée là sans boire ni manger, il est tiré de sa geôle par les vrais frères de Matteo, qui l’emmènent chez eux, le font admonester par le prêtre de la paroisse pour le convaincre d’accepter définitivement son identité nouvelle, puis le droguent et le reportent endormi dans son lit. A son réveil, éberlué d’être à nouveau reconnu comme le Grasso même par les frères de Matteo, il erre dans la cathédrale où il rencontre le maître d’oeuvre de la supercherie, Brunelleschi, qui, accompagné de Donatello puis de Matteo, achève de le troubler en lui rapportant l’aventure symétrique prétendument vécue par le vrai Matteo qui se serait pris pour le Gros pendant tout le temps où ce dernier était pris pour lui. Matteo en personne, qui est bien entendu de mèche, confirme de mille détails l’histoire qu’il aurait de son côté rêvée, plongeant le malheureux menuisier dans une douloureuse incertitude sur le rêve et la réalité des derniers jours. Il lui faudra boire jusqu’à la lie la coupe de l’humiliation lorsque, le lendemain, il comprendra qu’il a été l’objet d’une méchante farce, et qui en est l’auteur. Décidant sur un coup de tête de quitter Florence, il ira jusqu’en Hongrie exercer ses talents et ne reviendra dans sa patrie que des années plus tard.”

biche en bois

Cette peinture d’un peintre géorgien repérée par un étudiant me fait rire. Elle vient du fonds Maciet et dans l’album il y avait aussi Yves Klein!!

Hier big journée. 7h30 départ atelier, démonter un châssis. Arrivée de Cesar qui vient emporter des terres et des peintures ( moins il y a de choses dans mon atelier plus je suis contente. ). Je lui laisse les clés. RV à Paris à 10h30 avec l’éditeur. Puis départ pour… Vierzon , que personnellement  et contrairement à ce que dit la chanson, je n’ai jamais voulu voir. Avant d’arriver à Creaform, on traverse des bois de Sologne. Ca fait du bien de voir un peu de nature. C’est au bout du monde ce truc. On passe beaucoup de temps dans les ateliers, à regarder les machines, les matériaux, ce qu’il est possible de faire, les matières, les scan 3 D; Ca donne des idées pour chez soi.

Retour, charger des dessins à la galerie et un rouleau qui ne rentre pas dans l’ascenceur de la maison. 21h30

Mais zut je ne trouve pas le bouton pour justifier ce que j’écrit. Il a disparu.

Bon aujourd’hui changer le communiqué de presse, scanner l’image, (les oiseaux chantent!) et atelier . peinture et faire les maquettes.

Non serio

André Bloc/ Habitacle

L’essentiel de l’œuvre d’André Bloc, on le doit à ses sculptures-habitacles majeures qui se définissent comme un espace utilisable intérieurement mais non habitable. Le premier habitacle est la Tour de briques rouges haute de 25 mètres qui combine le déroulement en spirales de type labyrinthe avec ascension verticale. Univers étrange qui va de l’architecture habitacle à l’architecture humour. Le deuxième habitacle de forme arrondie de briques peintes en blanc réalise un espace architectural, qui surgit de la terre comme une boîte crânienne géométrique, à la fois fantastique et organisé. L’habitacle concrétise le passage de la sculpture à l’architecture. Il associe la géométrie indisciplinée, l’enroulement continu et l’étagement hélicoïdal. Cet ensemble réalise une des pages les plus originales de l’architecture caractéristique des années cinquante-soixante.

Ainsi que f estoys à contempler ces phantasmes et Idées, Vn inventeur de la grotte me dist ce propoz : « Cestuy œuvre vous semble-t-il beau ? Ouy di- je, et bien estrange. Lors il me dist, il est plus estrange que vous ne cuydez,etc. Bernard Palissy

Respirer. Je ne sais pas où j’en étais. Pas sortie. Travail à Arg et début de la nouvelle 10 m. Puis ordi, ordi et ordi avec les corrections de l’entretien-abécédaire et du communiqué de presse . Ca prend un temps fou. dessin à peine et je ferai mieux de dessiner le projet pour Jeudi. Si sortie au Bal, pour une sorte de conférence spirite, pas mal. AP y est et je retrouve deux étudiantes. Verre au Wepler toute seule. Et retour. Dernier cours aux Beaux arts. Hop. Plus que les examens. Non, ce n’est pas la philharmonie. Je ne retrouve pas le nom de cet architecte . Je ne connais que lui,c’est à Meudon. J’aimerais bien voir ça en vrai. Bloc. La barbe j’ai pas envie d’écrire. Je descends boire un verre. Non serio mais non ludere!!!

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