BABYLONE M’ATTIRE et LA PLUIE

Guernica déformé

Apres midi décor et déjeuner dans la cuisine. Ca se passe bien. On commence à y voir plus clair. Je n’ai pas du tout envie de travailler néanmoins/ Babylone/ Babylone mais non, mais non !!!  et la paperasse encore moins. Puis en Uber jusqu’au musée Picasso pour l’exposition Guernica. Première sortie in the monde !!!.Champagne.. Trop… Mais Top.

—Une jeune femme blonde lui demande: Ou sont vos oeuvres?

J’aperçois Pierre Buraglio là-bas, Laurent Le Bon fait un discours drôle , ou drôle malgré la sono deg. Je parle avec le couple Toubon qui me tutoie direct et Patrick de Carolis renouvelle son invitation. Eh, c’est pas des mondanités ça??. Ceci étant dit, c’était sympa et pas « le bal des monstres » comme parfois.

Le dernier dessin de l’expo c’est le mien: Je n’aime pas tellement Guernica

Notes Schulz

Lorsque mon père étudiait de gros manuels d’ornithologie et feuilletait des planches coloriées, il semblait que ces fantasmes emplumés s’envolaient entre les pages pour venir peupler la pièce de leur battement d’ailes bigarré, flocons de pourpre, lambeaux de saphir, de cuivre et d’argent. Pendant qu’il les nourrissait, ils formaient sur le sol une plate-bande ondulante, un tapis vivant qui, quand quelqu’un entrait par mégarde, se disloquait, s’éparpillait en fleurs mouvantes et voletantes pour finalement s’installer dans les hauteurs de la chambre.

 

Hier Beaux-arts. Assez ennuyeux. Beaucoup d’absents, ou de morts vivants sauf exceptions. Ca roupille. Je vais quand même pas leur donner des amphet!!!!

L’entorse à la cheville se calme mais pied bleu et bobo quand même.

Aller à Madrid. Après le décor, après Nicole avant l’été

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