La honte

Je ne connaissais pas Jacopo Ligozzi!! C’est magnifique.

La course.

Hier fin peintures

Ce matin fin ( enfin… ) dossier Beaux arts

Et là j’attaque le son.

NB ligozzi

 

54635013

 

rapido pour ne pas oublier

En revenant de la maison de la radio hier où j’étais partie “filmer une voix”, je passe devant une vitrine à deux secondes d’ici et trouve ceci ( tas )

Bon plus tard pas le temps

LA BORGNOTTE note vente bibli zoummeroff

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http://www.pba-auctions.com/html/fiche.jsp?id=3906308&np=1&lng=fr&npp=1000&ordre=&aff=&r=

 

2 Pièces autographes signées “Fieschi”, Prison du Luxembourg 17 et 18 février 1836. 2 pages in-fol. (déchirées et recollées, qqs manques). Portraits annotés et commentés de Fieschi pour sa maîtresse, la veille de son exécution. 17 février 1836, portrait lithographié (par Maurin, lith. de Villain) de Nina Lassave, dite “la Borgnotte”, maîtresse de Fieschi, entouré d’inscriptions autographes signées: “Oui c’est ton portrait pour moi le plus doux souvenir que dans mon coeur doit toujour m’apartenir (…) je t’engage en mon absence, de faire professions de la vertu (…) rappel toi toujour de ton ami. Je tatend, dans les champ d’Elisé”, etc. 18 février 1836, portrait lithographié (par Van Giel, lith. de kaeppelin) de Fieschi, dédicacé en haut et en bas à Nina Lassave: “cet eccritture et le mien, moi je t’aime, et je t’aimerais toute ma vie, cet amittié est sans réserve, elle combat avecque la raison mais la raison l’emporteras”… On joint un fragment autographe, donné par son défenseur Me Chaix-d’Est-Ange.

le mail de PVC

“Qu’est-ce autre chose que la vie des sens qu’un mouvement alternatif qui va de l’appétit au dégoût et du dégoût à l’appétit ?”

Anachorètes, Succubes Lascifs, Adulateurs et Contempteurs, Saintes profanes, Simples et Evidents Amis,

La toupie, la boule, le balancier.
Je reviens.
Le concours de bites permanent (kicé kila la + grosse fréro !) et ce moment où tu te vois, toi le gardien du temple, devenir bêtement comptable de tes heures ouvrées m’avaient fait lâcher prise, éteindre un désir, rogner une vocation, taire un savoir-faire, cracher sur le travail, maudire une enfance, douter d’une technique à parfaire…
Alors j’ai voyagé. J’ai vécu. Je suis allé ailleurs, souvent aux deux bouts du même spectre (ATTACK – DELAY – SUSTAIN – RELEASE). En tête : la certitude que tout est question d’échelle (SCALE) et de malentendus (RANDOM). Je rencontre des gens. Je gagne de l’argent. Je “mets à profit des expériences” et “développe un réseau”. J’oscille, wildly.
Tout ceci pour dire que “refaire l’acteur” me chatouille pas mal aujourd’hui (merci AW, merci YG, pour ça). C’est un nouveau désir égoïste où cette fois l’ego (narcisse) est mort. Je suis 1 outil.
Je suis 1 outil prêt à être employé pas n’importe où et n’importe comment, ni même à n’importe quels prix. Simplement, je suis 1 outil disponible, remis sur le marché.
De marteau sans maître, je me mue en marteau sans tête. Passez le mot si jamais.
Je suis là.
Je vous embrasse.
pv

 

 

I see you

Travail.

Je suis contente du livre.

Sans rapport ( ah ce qu’il m’énerve ce mec qui démarre sa moto-qui-ne-démarre-pas) tous les matins à la MÊME HEURE exactement…)

J’ai encore beaucoup à faire pour lutter contre ” des grognes ” et des agacements .

Pour calmer le jeu, ne pas envoyer de mail incendiaire.

Dans la langue courante, on dit “envoyer chier”  ou ” ne pas envoyer chier”.

C’est plus clair.

Savoir être indulgent, essayer de comprendre ( on se demande quoi parfois)

Dans la langue courante on appelle cela ” s’écraser” . ou être intelligent.

Sans rapport

E. est venue Vendredi enregistrer. C’était bien de l’entendre lire Rilke à nouveau

Bon.

Le suite ( en private …)

Sans rapport

Sinon, je ne cesse de travailler. Dimanche commencé à Argenteuil à 7h. retour 18h. Puis travail ici sur l’ordi.

Hier RV pour l’interview à Pantin. C’était très agréable.

Retour maison. J’oublie le rendez-vous d’après à la MR. J’ai horreur d’oublier un RV et cela m’arrive très peu souvent. Puis Nogent ( vérifier, déposer les factures )

Pluie plus que battante.

Récupérer à Nation la batterie pour les moteurs, métro. Hop Camille m’attend pour me montrer le montage .

Sushi

Lit.

 

SANS TITRE

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C’est là où j’ai envie d’être

Ce matin départ 7h en transport comme on dit à A pour aller y chercher ce qu’on appelle” l’oiseau”. Pluie battante. Basket percées j’arrive à Couronnes vers 10h comme un SDF ( existe t’il encore ce mot ? ) . Bas de pantalon trempé, pieds floc floc dans les chaussures ( qui sont à la poubelle chez B)

I. m’a prêté des chaussettes et des Puma trop grandes mais je suis au sec.

Direction la cave. On dirait qu’on est des souris…  B. est face à des moteurs des fils. Moi rayon mécanique je n’y connais rien. Il me dit:

—Tiens, tu vas démonter ça on va récupérer les moteurs. Misère. Je râle et soupire et  je peste et je grogne en cherchant la clé de 12, celle de 13, celle de 15. J’ai l’impression que je passe mon CAP. Il me montre comment on fait sans s’énerver. Une chose est certaine, je ne piquerai pas le boulot d’un apprenti de garage.  Finalement je m’en sors. Pas brillant mais pas si mal.

Mon nouveau téléphone ne chargeant pas je décide de filer chez SFR où ce sera la fête d’attendre des heures un Samedi…

Passage éclair à la maison, je branche le truc. Ca marche . Ouf.

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Réponse à TL qui me renvoie rapidement ses corrections. En fait ce n’est plus la même intention dans le texte. C’est bien aussi, mais moins centré sur l’éblouissement, la voix, le mystère , les archanges… J’aime bien les variations dans les récits. Raconter à nouveau. Ou différemment. Il est tentant de se laisser piéger et d’avoir “un standard” c’est à dire ce que j’appelle un récit-bonus.  Comme dans les suppléments des DVD quand des gens répètent les mêmes trucs. Nicole faisait ça parfois. Et je lui disais

—Non, N. Là, c’est bonus…

On se parle au téléphone.

Je l’ai un peu pressé car il fallait finir ce soir la maquette pour test. C. m’avait parlé le matin depuis L.A. Il avait lu le livre. Je n’avais pas  vu la rafale de  “notes” , horribles bulles jaunes citron de Acrobat, qu’il avait envoyé…

Quand j’ai ouvert vers 14h, j’étais en train de remanier la partie Scob, un peu confuse. J’avais le moral, ça avançait.

Je suis toujours prête à remettre en question tout. Mais a priori, si j’écris quelque chose, je relis et réfléchis ( dans les blogs c’est un peu rapide mais pour un livre) Grosso modo et sans prétention, je dirais que je sais ce que je veux raconter ou pas. Quand il y a une répétition, c’est que je la veux. Quand il y a une omission, c’est que je le souhaite et quand je mets une image , elle a un sens. Le personnage niais qui sourit et me sert pour les mises au point n’arrive pas par hasard. Les images ne sont pas autonomes elles se répondent. Une photo , un truc ne sont pas forcément des oeuvres sinon je ferai un catalogue. Je déteste les catalogues.

Ensuite vient le problème ” d’avoir trop le nez dessus ” . Bien sûr qu’on ne voit plus certaines choses. Et bien sûr qu’il faut savoir modifier. … Je ne suis pas bornée . Je ne crois pas. Bon…bref

C’est comme lorsque chez M. on me demandait si j’allais toujours peindre “si sombre, si noir” .

Ben oué

 Un seul mot à propos d’une image a mis fin à cet enthousiasme.. Bien sûr que ce n’était pas intentionné je le sais , mais soudain tout ce que j’avais retenu, étouffé depuis que nous avons laissé la maison vide et bien préparée pour être démolie, tout a explosé et l’action Kleenex-Sopalin a grimpé à une vitesse éclair.

De ce fait j’ai tout stoppé. Plus envie. Envie juste de partir quelque part et ça va.

Depuis cette tristesse ne me laisse pas. Zut .L’action K-S se maintient correctement.

Ca passera. R . qui est là aujourd’hui me rassure et on parle de ce que je suis en train de fabriquer, assise sur le tapis.

Je découpe des bouts de métal etc…

Je repense à ce rêve horrible de cette nuit. J’ai la tête dans des bandages-casque, une drôle de truc avec une ouverture qui n’est pas centrée. C’est à dire quelle ne correspond pas à ma bouche ou à un oeil. Soudain, une mouche vert émeraude entre et se pose sur l’arête du nez. Berk.

 

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la dame qui {NE} parle à personne

pour se sauver de ça: SORTIR. J’ai la tête en bouillie. Je soigne avec des chansons Italiennes ou Tana la Negra que m’a indiqué JW.

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Elle est souvent assise, du matin au soir au coin, dans le renfoncement de carrefour. J’ai réussi à lui sourire sans qu’elle fronce l’oeil.

Chaque fois que  je la vois je pense à Duras… ! J’adore cet accoutrement qu’elle a adopté il y a six mois environ.

C’est étrange ces vies. Ces gens dont on ne sait strictement rien. Pourquoi se sent-elle bien avec ce chapeau des rizières? De quoi se souvient-elle? En quoi se transforme t-elle qui est si peu ordinaire…. Ici elle est à 10 mètres de son repère habituel. Il faudrait que je la suive pour voir où est sa tanière.

Suis allée acheter un nouveau téléphone. L’autre était mort. Je suis toujours étonnée du monde dans ces boutiques SFR et de l’inconfort. Deux machins pour s’asseoir. En parlant des lieux ordinaires, je constate la disparition progressive des “Zinc” dans les bistrots. Enfin dans mon quartier ( Martyrs Trudaine, devenu particulièrement bourgeois et cher ). Au coin on dirait une succursale de l’Apple store. C’est horrible. Les gens installés à des tables communes. Oui la table commune c’est tendance depuis un bout de temps. Mais je préfère les comptoirs où l’on entend des tas de choses drôles. Là où les gens n’ont pas d’écouteurs, là où ils tendent l’oreille, regardent en sirotant je ne sais quoi, café ou bière. Ils échangent des banalités avec les serveurs et patrons. Vive la Meteo et les faits d’hiver et “les brèves “. Histoire de laisser un peu de côté le SMS et tout le bazar.

 

 

GRRR

Pas le temps d’écrire, de noter
Jeudi dernier j’étais partie à Châlon pour la mission Marouflage. Arriver à 16h30 et passer à L’espace des arts prendre la clé de l’atelier. On y va tous. Hop les deux premiers. Les bâtis lourds, la colle, à 4 pattes , étaler , pinceau, raclette, attention lève plus haut, impec, je vais en dessous, tu vois des bulles, il fait une bonne température. Trop froid niet, trop chaud, la colle prend trop vite. OK . Zut la couleur s’en va… Je ne l’ai pas fixé??? Bon ça va.

Voilà le type de conversation quand on maroufle. Appuie là, où est le cutter, mets bien l’équerre, ouille les genoux

On laisse dormir et on reviendra le lendemain.C. a pris ses genouillères. Agrafer ces bâtis de 350 par 300. Mais quelle folie de peindre sur papier. Fini. Promis juré. Bon on a travaillé jusqu’à Dimanche midi et dimanche aprem, les coutures.

L’angoisse des bulles. Yen a plein!!! Ah mais ce n’est pas sec, regarde derrière. Evidemment la toile est sombre par endroits là où les bulles nous inquiètent. C’est OK ça VA. On a trois Bâtis dont un hyper lourd. Pendant les pauses je tricote de la ficelle pour faire une sorte de cote de maille.

Cette semaine, encore dans des imprimeries, devis et autres Varia France. Je me lève très tôt et suis d’attaque à 7h me demandant quand même si je ne passe pas trop de temps à je ne sais quoi. PLEIN les bottes. Mais il sont tellement sympas que ça atténue l’écoeurement de TROPà faire . 7 à la suite c’est dur.

Je repars LUNDi et hop.

Tout dans la machine. J’hésite à aller au tennis Mardi. Je ne regrette pas. C’est agréable, difficile et fatigant mais ça va mieux.

Courses avec Benoit.

Début des interviews. Balthazar, Jean Jacques Lebel, Vincent Rondot, demain C.A, ensuite J. et C.P et DS.

Reçu le texte de J.

Ecrit les miens. Me suis lancée. On verra. Puis vernissage Jeudi puis je ne sais plus. Tennis Vendredi soir.

Je suis seule à la maison ce qui me permet de ne jamais m’interrompre.

Hier fini la peinture ” SCOB” et commencé le dessin des sorcières

FINI LA MAQUETTE

Argenteuil ( en arrivant Lundi il a fallu tout monter …). Dérouler par sécurité

INSOMNIE

Des cauchemars. Rue SAint-Fuscien mon portable tombe et file comme un missile. Un enfant en skate le rattrape mais il en manque une partie. On passe devant la maison. J’ai RV à l’atelier. Des gens arrivent. Je ne l’ai connais pas. L’un touche mon appareil photo et je l’engueule. DAns la pièce C. répète avec P. Une sorte de performance prétentieuse qui m’agace. Je sors mais passe d’Argenteuil à Amiens comme au cinéma.

En parlant de film, hier j’ai abandonné un Duvivier avec Jules Berry..

Ensuite impossible de faire des numéros de téléphone, de joindre qui que ce soit. Devant la gare, la place est mouillée. J’avance et perds pied. Mon sac se remplit d’eau. Je pleure .

Réveillée à 4h. Puis 6h.

Il faut que je file.

Hier et avant-hier toute la journée avec B. pour tout préparer. De mon côté tout est presque fait.

POur l’expo les peintures sont prêtes et je pars la semaine prochaine pour maroufler. Néanmoins je me demande s’il ne faut pas faire l’expo en Octobre ou tout au moins à la rentrée.

Lire et lire

Pas eu une seconde pour écrire quoi que ce soit, pour noter ce rêve très désagréable. Je téléphone à ma tante morte depuis lurette et voilà que c’est un chien qui me répond. Wou Wou Wou fait il comme un chien, mais horreur c’est elle qui parle. Elle me demande si elle peut s’installer chez moi. Lâchement je lui dis, ce qui est la pure vérité: Je suis allergique aux poils de chien. Alors elle transforme les aboiements-jappements en miaulement . J’ai la chair de poule parceque selon toute évidence elle est marteau. —Je suis aussi allergique aux poils de chats, lui dis-je…. Après j’ai oublié mais j’ai à la main un grand couteau à pain.

En parlant de chien, celui de Cantarella dans Anna et Martha,-la très méchante pièce inspirée des bonnes de Genet -est très drôle. Tout est si atroce , si horrible que l’on rit diaboliquement. Formidables Catherie Hiegel et Catherine Ferran et le mec-chien. Flemme d’aller sur le site du très bon théâtre 71 de Malakof. Comme des imbéciles on avait RV à 19H45 pour boire un verre avant. Et c’était 19h30. J’ai eu le début. Mais pas F. et A qui sont arrivés tranquillou( texte Dea Loher avec Catherine Hiegel, Catherine Ferran, Nicolas Maury et Valérie Vivier ). Après petit moment à manger et boire un verre. Je remonte à Champs Elysées où mon vélo m’attend. 

Pas mal de peinture à Argenteuil. 5m c’est grand.

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Jeudi dernier je suis partie avec beaucoup de plaisir à Saint-Etienne ( les tarifs SNCF sont exorbitants, c’est n’importe quoi ). R. y avait joué la veille. J’avais emporté un livre acheté dans la rue. C’est un drôle de bonhomme qui tient boutique. Prions pour qu’il survive et ne se transforme pas en magasin de bouffe chic qui ont tout envahi. ( Gauffres, gâteaux chichi, confitures, …) Que de la bouffe. Bref j’ai acheté un livre de Jonathan Rabb ( que je ne connais pas ) série grands détectives chez 10-18. Sur la quatrième j’ai vu qu’il s’agissait de l’UFA ( moi je dis la UFA, Berlin, fin des années 20 ) J’ai eu immédiatement la sensation que “ça accrochait”, que ça ne coulait pas et donc que la traduction était mauvaise. Peut-être que l’auteur n’est pas fameux non plus me suis-je dit. Mais je jette ma pantoufle ( je n’ai pas ce genre d’accessoires démoralisant ), bref je jette ma pantoufle de vair sur la tête du traducteur Bernard Cucchi . J’ai néanmoins plongé dans cette histoire très passionnante où l’atmosphère de Berlin vous enveloppe et aussi la présence de Fritz Lang, Thea Von Harbou, Peter Lorre…

J’ai fini le livre dans la chambre d’hôtel . C’est génial d’être à l’hotel et de ne pas en sortir. Lire et lire.

On est partis par le col du Grand bois à Annonay et R. a reçu la médaille de la ville !!!!. Retour après la représentation et le lendemain François le chauffeur de R, nous a conduits dans la grosse bagnole noire ( on pouffait de rire quand il se précipitait pour nous ouvrir la porte. Je faisais semblant de faire tomber avec mépris mes affaires, tête haute sans le regarder.)Direction SAint-Bonnet, pluie battante. Passage au célébrissime BA, et visite du local repéré par Eve. Magnifique. 300 m2 avec un jardin. Hop je le loue et on repart. Passage rapide à l’école , puis bonjour à J. et visite éclair à Montarcher. C’est magnifique. Le soleil à présent sur la neige. On roule ainsi jusqu’à Vichy. Hotel et soirée libre . Je lis. Le lendemain, promenade rapide dans la ville. C’est mort. J’achète Adieu à Berlin de Isherwood et En finir avec Eddie Bellegueule, best seller dont j’ai lu une critique. Hop retour au terrier, club-sandwich dans la chambre et lecture. R. sort . Pas moi. Le soir il joue à l’opéra, époustouflante salle de spectacle de 1300 places. On ne peut s’empêcher d’imaginer des bottes bien cirées dans les premiers rangs, des nazis et des collaborateurs. Impossible de se défaire de ces projections.

Je lis dans la loge, vais en coulisses de temps en temps, repars. Les loges, les coulisses et les chambre d’hôtel ( confortables…) sont ce qu’il y a de meilleur au monde. On est bien à l’abri.

Ca me plait Isherwood et visiter des villes par les livres , j’aime. J’ai commandé et reçu: Rencontre au bord du fleuve et Mr Norris change de train.

PLus plus tard. Découvert des artistes que je ne connaissais pas, écouté un truc sur la période vache de Magritte. J’adore ces peintures tant elles sont immondes. Elle est bien d’ailleurs cette émission de De Loisy , les Regardeurs.

Je voulais aller peindre mais courses , courrier à la cinémathèque , à S.T de Turin, à .. et envoi de documents pour Caroline.

RV avec B pour le devis ( au secours on dépasse énorme) puis plan de machines etc.

Ca y est Rabb Jonathan me faisait penser à Max RAab et son Palast Orchestra…

Reçu le texte de J. Nous en parlons.

Pas relu

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Cher, cher Jacques Taroni…

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Non,  non, mon cher Jacques comment peux-tu nous laisser en plan?

Personne n’est d’accord.

Je savais depuis une semaine que tu étais rentré à l’hôpital… U. me donnait des nouvelles…

” A la radio l’image est plus grande”.

Toi c’est ton oeil qui était le plus grand… Là sur cette image… Ton oeil… Je ne l’ai jamais vu autrement que vif, acéré, grand ouvert comme si chaque instant de la vie était un truc incroyable-une vague énorme, un toit qui s’envole, un avion qui tombe…un aveugle qui retrouve la vue, un miracle…

Sur le qui-vive.Toujours… Toujours bienveillant. C’est un beau mot bien-veillant qui ne concerne pas vraiment tout le monde! Ta vivacité incroyable. Un ton amusé… Ton recul. Quelque chose d’enfantin dans le plaisir de découvrir et dans la façon de toujours s’émerveiller.

C’est rare.

Le mot Vanité ne devait pas t’évoquer grand-chose. Aucune Vanité chez toi. Aucune. Une réserve, une écoute…Tu restais légèrement en retrait, à l’écoute…oui … jamais en avant…

On s’était rencontrés pour l’enregistrement de mon Cerf Coco avec Edith Scob. C’était la première fois que “je voyais”la radio, plus exactement  un studio avec les bruiteurs et toi qui dirigeait tout ça. J’avais demandé à rester 5mn. Je m’étais assise et avais fermé mon bec. “ On pourrait ne pas faire grincer la boite? ” Je crois que ce sont les seuls mots que je t’ai dits. U. me parlait souvent de toi et de G. Puis, grâce à lui. Nous nous somme mieux connus et G. aussi. Je n’ai le souvenir que de moments rares et délicieux. De rires, de vin… Ton élocution particulière… J’essaie de t’entendre. Tu parlais super vite.Comme si tu pensais trop vite …  Avec parfois un tout petit claquement de bouche et une façon particulière de dire le IN, AIN, UN. Un air gourmand et malicieux. Merde alors.

Là maintenant je vois: Toi dans l’autobus qui revient de la Maison de la Radio; Tiens Jacques!!!

 Tu avais si je ne me trompe pas, un carnet avec tes RV et des notes manuscrites. Un carnet d’autrefois. Plein, saturé. Je me trompe? Est ce que je confonds avec celui de D.P?

Là je t’entends… avec Blandine Masson, sur le site de France-Culure que j’ai guetté ces jours-ci, sans nouvelles.

U. M’a envoyé le mail ce matin, qui suivait les inquiétudes des jours précédents.

Voilà. R est bien triste lui aussi.

La dernière fois en décembre le 14, on était chez U avec C. Y . G et la petite C.

Je pense à G.

PS: Le père de D. a décidé de partir avec toi….

Grrrr.

18h30, le soldat inconnu et nous.

Revenant un soir d’été délicieux d’un après-midi chez Nicole, le nez au vent sur mon vélo, je m’étais demandé qui étaient ces militaires sous képi, raides à en pencher presque en arrière, ces femmes à chapeau et gerbes portées à deux. J’avais pris l’avenue des Ternes  et étais rentrée.

Hier en sortant du cinéma sur les Champs-Elysées ( pure horreur le Samedi, et sans racisme social, c’est terrible la vulgarité de ce que l’on voit. J’ai l’impression d’être à la gare d’Argenteuil- merde c’est dégueulasse de parler comme ça – mais c’est vrai. Des gars avec du gel dans les cheveux ou des coupes de cheveux comme ils les font derrière la gare,  atroces -pour moi- des survets blancs- la nouvelle forme en vogue genre sarouel est horrible- jeans bleus délavés et moulants , ou baskets ultra montantes et non lacées. Téléphones portables, deux à chaque doigt et coca. Les filles sont grosses, ne mâchons pas nos mots. Elles sont grosses et boudinées dans des fringues terribles. )

Au cinéma, c’est le royaume des pops corn, des souris en gélatine acidulée, et de la bouffe comme partout d’ailleurs.Quand on quitte la salle, c’est dégoutant tous ces trucs par terre…  Queue au MAc Do, queue chez Paul… Bon pour conclure et arrêter mes jérémiades de bobo du 9eme , je n’ai pas envie de voir les Champs-elysées habillés comme Cédric Villani mais quand même!!!!!

Avec B. 10 ans, on a vu le film ( Jack et la mécanique du coeur ). Pas nul mais ( je n’aime pas beaucoup l’animation car deux fois sur trois je me dis” Quel boulot pour rien” et je m’ennuie à vrai dire… ) Et puis j’en suis restée à Lotte Reiniger/ nan j’exagère / mais nan j’exagère pas.

Pas nul mais pas intéressant. Seule la voix de mon petit Jean Rochefort me réveille. Il est Mélies et moi je l’imagine en train d’enregistrer. Oui, en fait pour moi ce  truc est un documentaire sur JR en studio et aussi j’imagine les âneries qu’il a dites, les rires, les tentatives- on recommence-. Ils on dû bien s’amuser. Les textes des chansons sont épouvantables. Nuls,  et la musique, je ne sais même pas. Miss Acacia dit : fanteume au lieu de fantôme/ Et quand on abime un fantôme on me trouve en travers du chemin armée jusqu’aux dents et quand on enlève l’accent je rougis. Je deviens d’abord “reuse” puis RED.

Bon. En sortant on s’est assis sur un banc et on a regardé l’homme-oiseau. A savoir un type un peu minable qui avec un truc dans la bouche genre appeau, siffle et re-siffle. J’adore ça. On le regarde déformer la bouche, souffler, changer de nid.

— Vous voulez essayer?

—Nan merci, on a peur de s’envoler…. Il reprend ses trilles sans rire une seconde et nous on pouffe. C’est hyper tentant cette pochette jaune citron. Certain que lorsque l’ on a le truc dans le bec on n’y arrive pas. Lui doit avoir des ruses de merle répétées au nid. On l’imagine dans un grand nid horrible en résine maronnasse.

On y va?

J’ai une idée.

C’est quoi?

Tu es déjà allé sous l’arc de triomphe, là où est le soldat inconnu? ( Je passe les explications qu’un marraine se doit de fournir à son ( faux ) filleul.)

Nous y voilà. Les anciens combattants et leurs drapeaux sont sur le côté. Gants blancs. B. regarde, demande, s’étonne. Ils me proposent de prendre B. en photo avec eux. OK .

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Puis un grand militaire noir immense nous demande si nous voulons suivre ce petit cortège et participer à la cérémonie.

—On y va?

—On y va. Je dois enlever mon bonnet. L’espace d’un instant il me sourient comme un des leurs. Puis se ressaisissent.

Nous voilà prêts. Je dois dire que c’est assez impressionnant. On avance lentement. Trompette ( clairon heu???) et tambour. Sur place derrière   la flamme et face aux Champs, des Kilos de quincaillerie sur des torses. A présent nous sommes en faces d’une dizaine d’hommes en béret et treillis-Baillonettes. ( tiens je regarde qui étaient des militaires hier… )

Sonnerie des morts, gerbes.. Marseillaise, épée ( ravivage).

Il y a plus de monde que sur ce schéma

ceremonie

Et à la fin on nous serre la main comme ceci

Voilà.

En rentrant on croise avant le métro un ancien combattant qui range son étendard dans une housse.

—On y retournera hein ? Quand y’aura la garde républicaine??? On lui a dit qu’il fallait voir le ravivage du 19mars-Guerre d’Algérie.

Damned il marche au pas sur tout le chemin du retour!!!! Je pense que B. sera général et j’ai peur que ce ne soit de ma faute !!!

Pour ne pas être dépaysée, je mange une pizza devant Full Metal Jacket.

—SIR, YES SIR, I DO

Umberto… et mes icônes/ URGENT STOP

http://www.deezer.com/artist/9491

WARNING:

Re-halte aux geignards et plutôt geignardes de tout bord .. STOP.. PLEASE STOP…. Avec vos petits soucis ego-ego…. PLEASE URGENT STOP

Umberto Tozzi-Remember …!!!!!!!

Mais aussi…

J. qui m’appelle. Je roule.

Tu sais ils ont dit entre un an et cinq…

Moi: Blub

—Ca va toi? Ca va ton frère?…

—Oué J… Mais TOI??? Tu te coiffes pas comme moi?Pas de boule à zero ou ça vient???

—Trois cheveux sont tombés.. Haha… Entre un an et cinq… Je prends cinq….

Mais aussi I:

J’y vais , j’adore. Tu peux me porter ça? Tu peux fermer les portes? Voici PAM. J’y vais… Rire…

Mais aussi, J. qui visiblement ne verra pas l’été et peut-être pas la semaine prochaine… et G. à qui je pense et pense et/ mais  ça ne servira à rien.

Merde/ Merde…. et Merde. U. me donne des news… Des mauvaises..

ET..

Revoici Julian d’une ville à 300 km de Bucarest. Le revoilà. 6 mois plus tard… Son jeune ami a pris des joues-non le garnd air mais le rosé dégueulasse en quantité importante. Du matin au soir. Ces mecs sont jeunes et vieux…

Je lui ai promis des Marlboro pour ce soir et en rentrant à pieds de Belleville pour aérer mes micros angoisses, je ne le trouve pas. Je décide d’aller boire une bière aux Artistes.— “Ca va?  Ca va”.

Un mec à l’élocution sinueuse veut m’offrir ma bière. Il a des verres au compteur, des saloperies de Kir-Berk. Je refuse et il dit que je suis une tête de cochon.

Voilà Julian.

—”Tiens tes clopes”, je te l’avais dit. Merci. Sa main est enflée.

En faisant les courses je lui prends deux bières.

Le matin j’avais photographié cette voiture:

julian

La “leur”….

Il en sort quatre de là -dedans.Un petit comme dans les polars Français des années 60….

En échange des bières ils me donnent des images pieuses orthodoxes… Ils sortent à tour de rôle. Si j’étais TF1 …

Je leur dis de bouger la voiture pour ne pas la faire enlever. L’un a un gros téléphone … L’autre une dent cassée. Voilà Camille qui pensais que j’étais “en embrouille”. Non.

—On n’a pas d’argent pour acheter l’essence et rentrer.

—Julian, moi non plus. Je te le dis clair Julian

Putain… Hum…

Et que pensez vous du nouvel accrochage du MACVAL???? HAHAHAHAHAH

JE M’EN TAPE !!!!! Non?

On s’en tape de tous ces trucs, thèses, cinémathèques.Expos… Non?

On s’en tape.

Puis on respire à nouveau. Et on se dit…  Le MAC VAL, Los Angeles, les cinémathèques, et tout et tout…. C’est pas mal. Les expos…. C’est bien… Non?

 On devrait sauter de joie tout le temps vu(e) la chance que l’on a d’avoir tout ce temps pour nos malheurs de gâtés en assez bonne forme physique.

Allez. ouste …. Filez derrière vos kleenex, je ne veux plus vous entendre…

—Mais Moi, moi, MOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII????????????

vent

Encore un vent terrible. Nos fenêtres sont vieilles et j’ai toujours peur que ça claque.

En passant je me disais que je n’aimais pas les sténopé ( d’aujourd’hui ) . Je n’aime pas ce gout pour les images surannées… Berk. “Oui mais c’est beau!” Gnan gnan. Oui c’est beau mais à quoi bon utiliser cette technique. ça m’échappe dis-je en allumant ma lampe à pétrole. Panne de lecture. Pas une grosse panne vu que j’étais dans le type de bouquin spécial transports. Lehane. Que j’aime bien d’ailleurs.

Je ne sais pas ce que j’ai envie de lire. Ce que je sais c’est que je ferais bien de ma grouiller car je vais être en retard.

Marin, peinture , enfin je n’ai pas forcé. Montage de mes étagères Billy. Me demande si j’ai bien fait d’acheter ça…

DE N.D des VICTOIRES AUX CRABES GEANTS

Je ne sais pas ce qui s’est passé le 4 Février et pourquoi ces visites sur le blog. 5 fois le nombre habituel.

Comme je suis toujours dans Indesign je ne sais plus ce que j’ai dit, écrit, pensé. Tout s’efface vite.

Je crois que les deux maquettes sont à peu près bonnes, je veux dire bouclées. Maintenant laisser dormir. J’adore cette activité en fait. Une exposition pour moi c’est cela. Alors une exposition c’est un livre et un livre c’est mieux qu’une exposition. Non?

eveque ND des victoires

Sortie de la Messe, l’Evêque et je ne sais qui à la tête carrée

Ce matin, messe ( moi à la messe??) J’ai même annulé le tennis pour la confirmation de M. la fille de E. et V.!!!

Ca m’a fait très plaisir d’être à ce rendez-vous, encore une fois car je l’ai déjà dit, la foi de E. m’émeut beaucoup. C’est d’une telle sincérité chez lui que j’en ai la chair de poule. ( Pelle d’occa!) et la respecte.

Tout finalement sauf: La vanité, l’ostentation, la démonstration.

Je suis allergique à certaines démonstration appuyées de la foi… Allergique quelque soit l’obédience aux groupes ( Les catholiques en horde et oriflammes  pour Pâques à Montmartre, le groupe d’hommes musulmans l’autre jour sur le quai Place Clichy… Bouuuuuu….)

Notre-Dame des Victoires précédée d’un pain aux raisins croustillant en face. Devant moi un homme à loden bleu sombre prend le pain et dit:

— ” Mettez sur le compte de la paroisse…”

Quand est venu mon tour, j’ai répété la phrase magique  à la vendeuse en riant mais ça n’a pas marché!

Evêque et enfants de choeurs. Deux heures à peine, agréables je dois dire. Encens et couleur rouge, chants, croix, nouvelles ampoules sur les lustres, fierté du prêtre.

L’Evêque , enlève sa mitre d’un mouvement sec et je me dis qu’il a dû s’entrainer bien des fois comme moi au service, pour que la petite calotte sur sa tête ne suive pas le mouvement.

 

Hier , travail toute la journée, Dementia 13 de Coppola et hop vélo jusqu’à la Bastille chez A. pas revue depuis l’été et son séjour à NY.

Délicieux petit diner à deux, sans histoires et agréable.

Retour nez au vent. J’écoute en travaillant Paolo Conte depuis hier. C’est joyeux et mélancolique à la fois.

Bon il faut que je regarde les travaux des étudiants d’Angers mais avant je crois que pendant que R. se repose de la semaine de tournée je vais regarder

L’attaque des crabes géants

Ouille ouille!Mon petit Corman a encore frappé. Ce n’est pas très bon, mais c’est amusant. Le bruit des crabes vaut le détour et le simplisme des ce qui se dit, phénoménal. Ah les radiations , ah les radiations!!!

Cricraccric fait la pince.

Bonne prise

diamant-vert

Il y a longtemps que je n’avais pas fait une telle capture dans le métro.

Je suis assise. Je lis et descendrai à Belleville. J’entends une voix qui arrive. Elle répète la même chose, encore et encore. Comme je suis encore dans la réunion syndicale à Fay Hall avec Danny Coughlin, je ne fais pa trop attention, mais le type s’assied face à moi. Petit et sec, pas de dents visiblement. Face à ce type de personne vous avez beau vous appeler Dostoievski ou Claudel vous êtes battus.

—Je dois emporter le diamant vert. Je dois emporter le diamant vert. Je dois emporter le diamant vert. Je dois emporter le diamant vert.

variante

—Je dois emporter le diamant vert et surveiller ce diable. Je dois emporter le diamant vert et surveiller ce diable. Je dois emporter le diamant vert et surveiller ce diable.

variante

je dois surveiller ce diable ….surveiller ce diable… et en enfer. Je dois surveiller ce diable et en enfer.

variante

Je les manipule mais je dois emporter le diamant vert…

Et là apothéose: Je dois surveiller ce crâne rasé et emporter le diamant vert…

C’est magnifique non?

Mail de J.

Je payerai cher pour me faire greffer son cerveau!

Il parle de Jünger

Notes

Suis tombée la dessus hier tard . Pas vu le début. Pas vu la fin. Mais j’aimerais le revoir. Il est bien cet acteur Nicolas Bro.

  • Drame
  • Date de sortie :
     20 avril 2011

    Réalisé par :  Thomas CLAY

  • Avec : Nicolas BRO
  • 2h
  • Pays de production :
     Thaïlande Grande-Bretagne
  • Année de production :  2007
  • Titre original : Soi Cowboy

Panne de titre

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Bon, maintenant que je regarde des films, je brûle d’envie de regarder le Capitaine Fracasse ( le livre est magnifique) … Hier j’ai poursuivi mes entr’actes ou récréation avec Crimes et délits que je n’ai pas tellement aimé. Enfin si. Mais bon. J’adore les moments où le cinéma s’introduit dans les scènes avec Woody et sa nièce. Les leçons de vie etc.
Bon entre parenthèses moi aussi j’aurais fait buter la fille mais sans regrets!!! Mais c’est vrai que lorsque je regarde les films pour changer d’air, je préfère Zelig, radio Days, Dany Rose ( Haha Lou Canova, j’adore ce nom). Et quand dans Manhattan il dit à M. Hemingway que sa voix ressemble à la souris de Tom et Jerry ( peut être dit-il ça, sais plus)..
Bref je ris seule. Bon en tant que “haltère ego” comme elle le dit je poursuis la maquette Scob ( pas si simple) . Elle commence à L’Oeuvre ce soir d’ailleurs dans le misanthrope. Dont je ne peux rien dire pour le moment ( motus) . Sauf que j’adore Michel Fau, que j’aime ce spectacle…( Plus tard les détails) Capture d’écran 2014-01-29 à 11.23.56

indesign ( emoji de " j'en peux plus!!!"
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JE NE LIS PAS ASSEZ JE NE LIS PAS ASSEZ JE NE LIS PAS ASSEZ Ai repris poussivement un Lehane ( no comment… J’ai le droit de lire des pollars !!!)  où je tourne les pages avec des gants et aussi avec un masque pour ne pas attraper la grippe espagnole. Tiens je dois vérifier si ce que j’ai lu , une sorte de conte fantastique de Tchekhov trouvé sur le net , est fiable. Le texte ne ressemble en rien à son écriture. Ou alors c’est mal traduit ou alors édulcoré ou alors modifié. J’ai une confiance limitée. ( Le Miroir déformant, traduit par Madeleine Durand, André Radiguet,) Moi je ne sais pas qui a traduit. Je regarde. Hier déjeuner avec J.pour parler du programme. C’est bizarre Paris est désert. Puis P. Exposition Journiac dans le 15eme et je file embrasser E. au Lutetia . Max est là. On papote en mangeant un rond de saucisson. Il pleut à verses. Je marche jusqu’au métro Rue du bac. Maison. Soupe et Woody Allen. France Musique/ le Matin des musiciens

CIRE

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En cherchant des fabricants de Papier peint je tombe sur Kraftwerk dont les clips m’amusent. C’est un peu démodé l’idée de ces hommes robots ( démodé dans l’esthétique qu’ils utilisent avec soucoupes volantes des années 50).

Plus sérieusement hier soir ( avant que la nuit ne transforme la maison d’A. en studio de cinéma hyper protégé par Disney-On était cachées avec C et on a réussi au sein même du film à faire peur à l’ours et aux autre animaux qui marchaient sur leurs pattes arrières… Ils on rebroussé chemin et sont allés directement dans la chambre de mes parents. -No comment!!!)

Oui et aussi avant de me faire des délicieux spaghettis ( moi qui n’ai pas mangé de pattes {LA HONTE !!! Manger des PATTES !!! Berk } des pâtes, depuis une éternité/ Passionnant) donc j’ai regardé “Le visage d’un autre”, expédié rapido par J. qui le possédait bien caché dans son stock de noisettes anciennes du temps où il était mon étudiant.

A part quelques petites choses ( le son parfois avec des bruitages datés ) et un certain “trop-sérieux” comme le dit justement J. , j’avoue que j’ai été subjuguée. Les Yeux sans visage n’étaient donc pas orphelins et je ne le savais pas!!!!

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Dans le genre surprise , j’ai eu aussi envoyé par N. la photo de LN, mon ancien professeur des Beaux-arts… Hum… Un choc. Ce vieux Monsieur qui n’avait pas l’air commode et ne l’était pas d’ailleurs à l’époque, avec son long manteau noir et ses cigarettes espagnoles. Hum. Il a gardé de cette tenue une casquette noire. Il a l’air assez en forme et doit avoir au moins 90 ?

Maquette depuis hier. Je veux terminer tout ce mois-ci et être tranquille pour changer  d’avis si je veux.

Note:

http://fr.wikipedia.org/wiki/L’Opération_diabolique

«Si c’était l’imitation d’un grand pain d’épice, ce serait un chef-d’œuvre.»

En ce début d’année j’ai déjà raté le train pour Florence et qui partait du jardin de la maison. Juste derrière.

Comme j’y avais déposé mon sac en constatant que les sièges étaient placés curieusement, je me croyais à l’abri. Mais repartant ves la maison, puis comme happée par elle ( pas au sens amity ville !!!), j’ai commencé à fermer les volets ( vrrrrr ils font un bruit particulier que j’ai enregistré) . Puis j’ai continué le rangement, puis…. J’ai vu le dernier wagon disparaitre au fond du jardin. J’ai couru comme une dingue pour la rattraper… La veille je photographiais un mannequin très grand en essayant de ne mas imiter Goude.

Samedi tennis et soirée chez S et F. très sympathique. Une heure et demi pour y arriver ( dans le 13 eme) Embouteillages terribles. On regarde entre Barbes et La Chapelle le “marché des pauvres ” qui se vendent une boite de lait, du pain, une boite de conserve. dans le noir avec lampe de poche ou sous les néons d’une boucherie Hallal.

Hier , tennis encore. Puis enfin dossier corrigé. Je commence à réfléchir plus sérieusement au projer avec ES, demande à GK quand on se voit pour parler de la chanson. Elle est d’accord pour chanter et pas tres disponible en ce moment avec les répétitions pour Le misanthrope.

Mario Bava: Le masque du démon.

Sauvegarde avec mon nouveau DD  de 6 teras

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Achète un nouveau Lehane… que j’ai déjà lu. Ca m’exaspère d’oublier.

Lis dans l’article de Libé consacré à l’exposition Diderot à Monpellier des choses vraiment amusantes qu’il a écrites

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