Chercher le garçon

E. est passé me prendre et on est allés dans le quartier des Folies bergères pour écouter 6 garçons en vue de la soirée Fellini.

Ce qui est drôle même si on le sait ; est la différence qu’il y a entre un type dans la rue et le même type sur un plateau.

C’est très difficile de choisir. Celui-ci ci déjà trop assuré, trop efficace, trop “doué” et qui doit tout casser pour avancer. Celui-ci malheureusement , trop brun, trop trapu par rapportà D. Il ne s’agit pas de trouver le jeune homme qu’il était à 20 ans mais quand même. Celui ci… Hum … Oui mais un peu monocorde. Physiquement c’est lui. celui là, très jeune très vivant. Peut être trop physique. Lui , non. il termine les phrases en l’air. Comme par hasard les deux que je retiens, ont acheté le livre.

Merde je dois partir et pluie terrible.

Ai ressorti le texte de Nicole, enlevé toutes les photos. gardé quelques cartons

+ + tard

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La princesse la langouste et le muguet

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Camille et R.1er mai

Premier mai. tennis et brins de muguet. je suis contente . Je joue bien.

Travail toute la journée sur Tea-Time, puis arrivé à l’heure pile de Meriem. C’est une étudiante des Arts déco ( j’entends…;J”e ne trouve pas le poivre”, là bas dans la cuisine, ce à quoi je réponds: “—débrouille”) – donc Meriem qui me montre AE. En fait on va travailler sur Tea-Time. C’est mieux que des exemples abstraits.

Puis RV avec MM ;Tout est fermé autour de la Comédie Française. Le Nemours fermé. Un verre de vin en face.M. me raconte des belles histoires; La répétition Boulez-Pollini.

Puis le Marly désert. C’est très agréable , le soir à l’intérieur avec personne.Je mange un cheese-burger. C’est bon ça.

Samedi re-travail toute la journée sur photoshop. Fastidieux. Puis U. à 17h? Récréation avec comme d’habitude les commentaires quant aux gens qui passent.On rit et on décide surtout de ne plus aller à la Marmite, car à peine servis :

—Je peux encaisser?

On a beau dire que ci et que là. Que dalle.

Là un type qui marche-le pauvre-comme le bonhomme qui va servir à l’animation de M.

Un type et une fille en tee shirt vert laitue qui s’enlacent et regardant dans le même direction.

Des retraités pantacourt vert kaki et gourde, deux grandes filles qui doivent bosser au Moulin.

Puis dîner chez A.

Chez Armelle c’est toujours bien. Il y a toujours des gens extra et jamais prétentieux. C’est toujours joyeux.

Je me demande si Voix off de Podalydes c’est bien. Je pense que oui. J’ai envie de le lire.

Hier Maurice Benichou et sa femme. Impec.

J’ai dormi comme une langouste.

Cet aprem je dois relire Les Felliniennes années en vue du RV demain avec Dominique Delouche

Ca c’était à Bruxelles mais je ne me rappelle pas le nom.

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E. doit être rentré du Japon, avec ou sans fièvre.

Le type d’en bas continue sa lutte contre le supermarché qui laisse les “pauvres” se servir dans les poubelles. Comme il trouve que ce spectacle n’est certainement pas le plus efficace pour la réussite de sa boite de com à la noix, il dit s’inquiéter pour la santé de “ces gens” car les produits sont avariés. C’est quand même immonde non? Quelle belle solidarité.

Bon, c’est décidé je vais aller m’installer à Dubaï dans un immeuble en forme de corne de licorne.

BRITISH

Edward John Trelawny, Les derniers jours de Shelley et Byron

Collection Romantique, éditions Corti-le premier roman de Fanny Burney Evelina

L’Endeuillée (1830), Transformation (1831), Le Rêve (1832) et L’Immortel mortel(1834), parcourus par les thèmes obsédants de la mort et du deuil impossible, évoquent, chacun sous une forme différente, à l’opposé de Frankenstein et pourtant dans la même veine, un Prométhée humain, peut-être trop tristement humain.

Mes écrits de ce matins envolés. pas grave.

On s’en fiche.

Puis Marché Bio des Batignolles. L’angoisse de la clientèle je dois dire. La dame au béret rouge genre mon colonel sait acheter, parents trentenaires qui montrent à leur descendance le vert, les poulets , les plantes… C’est beau un enfant… (la nuit….). C’est beau de transmettre. Bon , on achète ce qu’il faut pour être beau et en bonne santé et j’accompagne R. avec les sacs rue Là-bas pour un essayage de favoris. Je n’y vais pas totalement désintéressée, vu qu’il va me falloir pour mes âneries une perruque de marquis blanche. Toc, c’est fait. j’appellerai et je passerai la prendre. Il n’y a plus qu’à trouver ce que je veux faire.

J’oscille entre une certaine satisfaction de ce que je suis en train de faire, et un soudain déplaisir.

Aperçu hier à la tV, Raison et sentiments, mais il n’est pas donné à tout le monde de traduire Jane Austen.

Je vais aller acheter les Edward John Trelawny, Les derniers jours de Shelley et Byron Collection Romantique, éditions Corti

Mémoires d’un gentilhomme corsaire

« L’authenticité des Mémoires d’un gentilhomme corsaire d’Edward John Trelawney a été mise en cause et demeure sans doute sujette à caution. (…) On préférera voir en quoi cet écrit, riche de réminiscences livresques, reprend une forme et des topoï éprouvés, ceux des récits rétrospectifs menés à la première personne du dix-huitième siècle, centrés sur des personnages d’aventuriers et de pirates, et leur donne des couleurs plus précisément romantiques.

Dans un texte autobiographique, les épisodes, souvent répétitifs, pillages, abordages et poursuites, s’organisent en fonction d’un itinéraire personnel dont le maître mot est celui de liberté, placé à l’orée comme au terme du parcours auquel il confère une rectitude. Contextes familial et politique dans une Europe qui voit la faillite des idéaux de la Révolution française sont présentés de manière à conférer un caractère logique à l’engagement dans la course. »

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