” le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie “

Odilon Redon

Bon , je vous fais grâce de mes réflexions à ce sujet. J’adore Redon . j’adore sa façon d’être un bizarre lithographe. et ses araignées et ses mono-yeux et ses titres

-femme nue au milieu des sphères

-un masque sonne le glas funèbre

-la bataille des os

-araignée souriante

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iPhone notes

armand clavaud/Botaniste

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rodolphe bresdin

Et l’incroyable ensemble de panneaux peints pour ??? Zut

Bon j’y retournerai car cela m’étonnerait qu’il y ait foule. Je ne sais pas si Mallarmé et Huysmans sont au Hit Parade !!!)

Au moment de retirer à l’accueil “mon petit couteau” confisqué- petit couteau à dire avec la voix de Gérard Phillipe: Je vous le dis à l’oreille; la mariée est belle mais prenez garde à son petit couteau…

Bon heu. Oui au moment de le récupérer en donnant une carte que j’avais mise sans la regarder dans ma poche, cette même carte à présent inspectée était magnifique: Une image de couteau ( la pipe de Magritte en couteau) un numéro ; en l’occurence le numero 4 et GALERIES NATIONALES. j’ai décidé d’abandonner la lame et de garder l’image.

Puis mondanités. Les mêmes personnes intéressantes sont toujours aussi intéressantes depuis la dernière fois, et les sots disent à ma grande joie d’autres sottises sans cesse renouvelées.

CD me promet de me donner sa tresse qu’elle à l’intention de couper. Je l’aime bien, et cette promesse de tresse me réjouit!!!

X me raconte je ne sais qu’elle platitude bien plate. Y me regarde et: “Vous ressemblez à Claude Cahun”, Z: “Ya du Dali là dedans…”

Avec CG et D et on retrouve X et Y.

Moi dans le “bal des monstres”, le “bal des monstres” et moi!!

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Il y avait là une femme plutôt pas vieille, mais pas jeune . Une grande sèche? sèche mais pas jaunâtre.

Et elle seule occultait toute l’exposition.

Elle partagea un peu plus tard son succès avec un Monsieur défiant les lois de l’équilibre, qui sans canne avançait pourtant et malgré sa tortueuse constitution, ce n’est pas le mot , silhouette.

Il me faisait penser à ces cubes empilés par les enfants, quand l’édifice va s’écrouler.

Alors avouez le ; la peinture, la sculpture,tout ce qu’il y a de plus beau part en fumée devant ces vies roses ou tordues. Et si au moment où ils passent, je ne vous écoute plus ne m’en veuillez pas. On ne peut rivaliser avec la nature!!!

Elle était peut-être jeune d’ailleurs; de celles disons qui ont l’air âgée et que la nature à vraiment négligé. De celles qu’on essaie en poussant son voisin du coude , de lorgner sans de faire prendre. ( car dans la méchanceté mondaine, il faut parfois des gants…)

Oh non. Une fille si laide, si laide et grande avec un nez qui partait vers le plafond ( oh Dorothy P aidez moi dans mes descriptions) .

Elle était donc aussi laide que son ensemble rose “probablement coupé et cousu par une mère presque aveugle. Oui aussi laide que ce rose trop fort, ce rose aveuglant, comme si elle était la signalisation de la laideur.

Je ne pense pas être une beauté mais quand même ..; A ce point. Et voûtée. Et triste. Et toute seule. Je me demandais -elle tenait ses mains de peur probablement qu’elles ne s’échappent-nez piqué vers le sol et son corps assis enroulé vers l’avant… Cheveux ingrats aussi et raides. Je me demandais je ne sais plus quoi. Comment elle vivait, quelle était sa fonction. Miss RMN sans doute pas…

Elle s’est levée soudain et de sa main gauche à comment dire… remonté sa culotte? Oh non!!! Mais si…

Pas entendu sa voix. Bon stop avec ça.

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