Adolfo Wildt et Stephen King

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Retour d’Amiens. Hôpital et deux étages au dessus de JJ et son AVC, J.S meurt. Bon. Devais-je grimper les deux étages ou pas. Quelle était l’attitude la plus délicate??? N’y suis pas allée. On a papoté près de la fenêtre. La chambre à deux, c’est pas drôle.

Qu’il est con cet ORL de n’avoir pas appelé le SAMU. Quand on suspecte des signes d’AVC on se bouge même pour rien. Bref.

Grosse chaleur. Je lis sans savoir pourquoi un truc que j’ai trouvé: Carrie de Stephen King! J’ai abandonné pour le moment Starobinski et je ne sais plus qui. Tiens Agamben est à la villa Médicis/

De fil en aiguille j’essaie de joindre Nuccio Ordine sur fb pour l’inviter aux Beaux-arts l’an prochain. Mais peut être devrais-je aller aux Belles Lettres?

Passage éclair aux Bozar. Et je décide de prendre mon temps et un velib, d’aller (re)voir les nymphéas ( les gens semblent ici plus attentifs qu’au Louvre ) et l’exposition étrange Adolfo Wildt (1868-1931), le dernier symboliste.

Etrange et monstrueuse d’ailleurs. Plus c’est monstrueux, plus ça me plait mais les bondieuseries des années 30 plus abstraites ne me disent rien. Le buste terrible de Mussolini attaqué à la pioche est un sacré morceau, terrifiant. Le buste de  Pie XI. 1931 me fait carrément peur.

Bust of Pius XI. 1931.

Velib ( savez-vous que si vous ne trouvez pas à vous garer dans un rayon de 300m, vous gagnez 4h de location? Galeries Lafayette( berk ) et retour. Ca n’est pas si mal Carrie?

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